COULEURS-DE-LA-VIE

Par Stéphane Thomas Berbudeau

Robert Redford n’est pas seulement une icône du cinéma américain. Son aura, son regard clair et son charisme ne sont pas issus d’un simple héritage terrestre. En me connectant aux archives akashiques, son chemin se révèle comme un pont entre deux mondes : l’illusion hollywoodienne et la mémoire profonde des âmes incarnées.

Origine vibratoire

Redford est une âme ancienne, d’origine pléiadienne avec des liens forts aux mondes lyriens. Sa mission première n’a jamais été seulement de “jouer un rôle”, mais de traduire la lutte intérieure de l’homme contre la Matrice, en incarnant des archétypes de liberté, de justice et de rébellion. Ses yeux bleus perçants portent le code génétique d’un lignage stellaire ancien, qui porte en lui la mémoire de l’eau et de l’air, deux éléments fondamentaux qu’il a toujours valorisés (montagnes, rivières, nature).

Les films comme miroirs codés

Dans Butch Cassidy and the Sundance Kid ou The Sting, il incarne le trickster lumineux : celui qui déjoue les règles du système.

Dans Out of Africa, il joue le nomade libre qui ne se laisse pas enchaîner par la société.

Dans All the President’s Men, il devient la voix d’une vérité cachée derrière le pouvoir corrompu.

Chaque rôle est un code, une transmission vibratoire qui met en scène la confrontation de l’Homme à la fausse réalité. Derrière le divertissement, il y a une graine semée dans l’Inconscient Collectif.

Sa mission terrestre cachée

Redford a été choisi (et il s’est choisi lui-même, en accord d’âme) pour ramener dans la conscience américaine l’importance de la nature comme refuge et comme miroir. Son engagement écologique, sa fondation Sundance Institute, ne sont pas de simples actions philanthropiques : ce sont des portails vibratoires. Le mot Sundance renvoie directement à la danse du soleil des peuples natifs, rituel de sacrifice, de connexion et de résilience. Par ce nom, il a consciemment relié Hollywood aux traditions ancestrales de la Terre.

Dualité et épreuves

Comme toute âme incarnée dans les arcanes du cinéma mondial, il a été tenté et approché par les forces obscures qui régissent Hollywood. Mais son âme pléiadienne a toujours maintenu une certaine distance, une indépendance rare. On le sent : il a traversé des zones d’ombre, mais n’a jamais vendu son essence. Son vieillissement digne, sa posture toujours droite, témoignent de ce refus intérieur.

Les secrets akashiques

 • Robert Redford est venu incarner l’archétype du Héros sobre, celui qui agit en silence mais marque durablement la mémoire collective.

 • Il a toujours porté en lui la vibration du rebelle libre, un code très ancien de la confédération lyriano-pléiadienne.

 • Sa connexion à la nature sauvage est bien plus qu’une passion : c’est un rappel à l’humanité que la Terre est un sanctuaire, pas une ressource.

 • Par son regard et son aura, il a transmis une fréquence d’intégrité au sein même de l’un des systèmes les plus corrompus (Hollywood).

Les véritables raisons de sa mort (16 septembre 2025)

Robert Redford n’est pas parti à cause d’une “maladie” spécifique au sens matriciel.

Sa mort est le fruit d’un choix d’âme, aligné avec la fin d’un cycle vibratoire.

Le poids du temps terrestre

Son corps, comme tout véhicule biologique dans la matrice 3D, avait atteint sa limite d’usure. Mais contrairement à d’autres figures publiques, il n’y a pas eu d’effondrement brutal ou de pathologie dégénérative dramatique : c’est une fatigue cellulaire volontairement orchestrée par son âme. Ses cellules se sont “débranchées” progressivement.

La mission accomplie

Il avait une mission précise :

 • maintenir vivante, dans l’inconscient collectif, la mémoire de la liberté, du lien à la nature et de la résistance aux systèmes corrompus ;

 • transmettre, par son aura et ses films, des codes pléiadiens de dignité et de vérité.

Cette mission était achevée. Les générations qui l’ont vu à l’écran portent déjà ces semences.

Le passage par le sommeil

Il a choisi de partir endormi, car cela reflète sa nature : discret, digne, sans mise en scène. Son âme voulait une sortie douce, non traumatisante pour son entourage, à l’image de son indépendance intérieure.

La synchronicité du 16 septembre

 • Le 16 est le nombre de la tour foudroyée en numérologie : effondrement d’une structure pour révéler la vérité cachée.

 • En quittant ce jour-là, il a activé un code : sa disparition oblige l’humanité à revisiter son héritage et à voir au-delà du mythe hollywoodien.

 • Septembre est le mois de la moisson : il a quitté ce plan après avoir récolté tout ce qu’il avait semé.

La véritable cause

Ce n’est pas la maladie, ni le hasard, mais un retrait volontaire d’énergie vitale. Il a choisi de couper le flux de son prana, en accord avec ses guides stellaires. Cela explique pourquoi la “cause” médicale est floue : il s’agit d’une mort énergétique, pas d’un effondrement biologique classique.

Message vibratoire de son âme

« Le rôle le plus important n’est pas celui que l’on joue devant les autres, mais celui que l’on incarne dans la solitude de son cœur. J’ai toujours voulu rappeler que la liberté, c’est d’être soi, même quand tout le monde attend que vous jouiez un autre rôle.

Et maintenant que je repars, souvenez-vous : la liberté n’est pas un mythe hollywoodien, c’est une vibration intérieure que rien ne peut vous enlever. »

Totem : Le Faucon

Toujours en altitude, observant avant d’agir, porteur de vision claire et de liberté intérieure.

Mantra d’âme

« Je suis libre de toute illusion, et par mon regard, je rends les autres libres. »

Robert Redford restera dans les archives humaines comme l’un de ces passeurs qui, par l’art du cinéma, ont fait circuler des mémoires stellaires sous forme d’histoires. Derrière l’acteur se cache l’âme d’un gardien.

Et derrière sa mort, il y a la preuve qu’un départ peut être un choix conscient, noble et aligné.