Le plan qui a tout déclenché
COVID-19 : le plan qui a tout déclenché
Je vous parle souvent de la matrice numérique, de la façon dont nos vies se sont lentement dématérialisées. Mais quand on prend un pas de recul, une chose saute aux yeux : la pandémie de COVID-19 n’était pas seulement une crise sanitaire. C’était le tremplin parfait, la clé qui a permis de déployer à vitesse grand V un projet qui couvait déjà depuis longtemps.
Tout s’enchaîne, tout prend son sens.
Et voici comment :
1. Diviser pour mieux régner.
Dès le départ, la pandémie a créé une ligne de fracture entre les gens.
Vaccinés contre non-vaccinés. Masques contre pas de masques. Respectueux des règles contre « rebelles ».
Jamais dans l’histoire récente une société n’avait été divisée à ce point sur des bases aussi intimes. La stratégie était simple : créer la suspicion, casser les liens de confiance, isoler les individus.
Une population fragmentée est une population affaiblie.
2. Détruire l’économie réelle.
Les petites entreprises, les commerces de proximité, les restaurants, les bars, les salles de spectacle … tout a été sacrifié sur l’autel des mesures sanitaires.
Résultat : un tissu économique fragilisé, des dettes publiques colossales, une inflation galopante qui rend la vie de plus en plus inaccessible. Pendant que les indépendants sombraient, les géants du numérique et de la livraison prospéraient. Amazon, Uber Eats, Netflix … tous ont vu leurs chiffres exploser.
La pandémie a agi comme une purge économique : affaiblir la base, renforcer les mastodontes.
3. Connecter les gens à la matrice numérique.
Souvenez-vous : tout est passé par l’écran.
Le télétravail s’est imposé via Zoom, Skype, Teams.
L’école à distance a enfermé des millions d’enfants derrière un ordinateur.
La santé est devenue numérique : rendez-vous en ligne, téléconsultations, QR codes pour accéder aux lieux publics.
Et dans le quotidien : livraisons, divertissement, rencontres … tout s’est digitalisé. En quelques mois, nous avons été branchés de force à la matrice numérique.
4. Le prétexte sanitaire pour justifier le contrôle.
La pandémie a servi d’excuse à une intrusion inédite dans la vie privée :
• passeports vaccinaux,
• restrictions de déplacement,
• couvre-feux mondiaux.
Jamais l’humanité n’avait accepté aussi facilement un tel degré de contrôle, sous le prétexte de « protéger la santé publique ».
C’était un test de soumission collective grandeur nature.
5. Installer la peur comme habitude.
Pendant deux ans, les médias ont martelé la peur du matin au soir. Cas quotidiens, décès en direct, conférences de presse alarmistes. Cette habitude de vivre sous tension a laissé une empreinte durable : une société prête à accepter presque n’importe quoi « pour sa sécurité ».
6. Préparer l’étape suivante.
Quand on relie les points, c’est limpide :
• Division sociale
• Destruction économique
• Numérisation massive
• Contrôle sanitaire
• Habitude de la peur
Tout cela prépare la prochaine étape : la fusion du numérique et du biologique. Identité numérique, monnaies numériques de banques centrales, implants de santé, suivi en temps réel.
La pandémie a été le grand accélérateur, le moment où la théorie est devenue réalité
Conclusion.
Tout, absolument tout, s’emboîte avec une précision chirurgicale.
Même si certains détails n’ont peut-être pas été « planifiés » au millimètre, le résultat ressemble à une chorégraphie parfaitement orchestrée.
La question n’est plus de savoir si c’était voulu ou accidentel.
La question, c’est : maintenant que la matrice est en place,
que faisons-nous ?
Subissons-nous le programme ?
Ou reprenons-nous le contrôle de notre Humanité,
avant que l’oubli ne devienne total ?
~ Nova Lys Code 333
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