Si tu te sens coupable ...
Si tu te sens coupable, c’est que tu es sous influence.
Il y a un poison silencieux que presque personne ne remet en question.
Il se glisse dans tes relations, dans ta façon de parler, dans tes décisions quotidiennes.
Il se camoufle sous des airs de bonté, de responsabilité, de spiritualité même.
Ce poison s’appelle la culpabilité.
C’est l’un des plus puissants programmes de la Matrice.
Un virus invisible, transmis de génération en génération, de religion en dogme, de culture en culture.
Et il agit comme une colle.
Il te retient là où tu aurais dû partir.
Il t’oblige à t’expliquer quand tu n’as rien à justifier.
Il t’amène à te saboter, à t’effacer, à t’excuser d’exister.
Et le pire ?
Tu crois que c’est une preuve de ta sensibilité.
Tu penses que c’est bien de culpabiliser.
Que ça veut dire que tu es une bonne personne.
Non.
Ça veut dire que tu es pris au piège.
Tu veux savoir où agit encore la Matrice en toi ?
Regarde là où tu ressens de la culpabilité.
• Quand tu dis non à quelqu’un.
• Quand tu choisis pour toi.
• Quand tu quittes une relation toxique.
• Quand tu brilles un peu trop.
• Quand tu réussis alors que d’autres souffrent.
• Quand tu te retires pour retrouver ton centre.
C’est là.
C’est exactement là qu’elle agit.
Pas dans un laboratoire caché.
Pas dans une puce sous-cutanée.
Mais dans ta biologie émotionnelle.
La culpabilité n’est pas un guide moral.
C’est un sabotage programmé pour te garder petit.
Elle est la voix de l’oppresseur que tu as fini par intégrer.
Elle te fait croire que tu dois réparer, porter, rattraper, t’effacer.
Mais l’Univers ne fonctionne pas ainsi.
Dans les lois du Vivant, tout est équilibre naturel, pas punition.
Il n’y a pas de dette karmique, pas de faute originelle, pas de tribunal cosmique qui t’attend à la sortie.
Il n’y a que toi, ton cœur, ta vibration.
Et ta capacité à choisir à partir de ce qui est juste, et non de ce qui est attendu.
Alors aujourd’hui, je te propose de lâcher ça.
Vraiment.
Pas en faisant semblant.
Mais en posant ce choix vibratoire :
Je rends à la Matrice toute forme de culpabilité qui ne m’appartient pas.
Je n’ai plus à porter ce que je n’ai pas créé.
Je suis libre d’exister, de choisir, de rayonner. Sans condition.
Tu veux savoir ce qu’est la vraie liberté ?
C’est oser ne pas culpabiliser, même quand tout autour de toi continue de jouer à ce vieux jeu.
Pas parce que quelqu’un t’a donné cette permission.
Mais parce que c’est ton état naturel.
Celui que la Matrice redoute le plus.
Et si tu t’autorisais, vraiment ?
À vivre. À parler. À aimer.
Sans te demander si tu en as le droit.
Stéphane Thomas Berbudeau
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