COULEURS-DE-LA-VIE

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STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature ...

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MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL DE PROFESSIONNELS DE SANTÉ

 

AUX GOUVERNEMENTS ET AUX CITOYENS DU MONDE :

 

STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges

et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle - 26 Août 2020,

 

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

 

1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été

prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de

l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc)

car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve

scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les

preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les

recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude,

utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

 

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a

connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004,

le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la

grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a

été prise pour ces virus-là.

 

On nous dit :

 

-«Mais, le SARS-CoV-2 est très contagieux» et nous répondons : C’EST FAUX.

Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale1.

Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la

contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des maladies comme la

rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une

personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une

personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins

que la rougeole.

 

-«Mais, c’est un virus nouveau» et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a

cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a

pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas

fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant

mais qu’on s’en est pas rendu compte

 

-«Mais, on n’a pas de vaccin» et nous répondons : au début de l’H1N1 on n’avait pas

non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné

les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système

éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de

porter des masques.

 

-«Mais, ce virus est beaucoup plus mortel» et nous répondons : C’EST FAUX. Car

rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er

Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été

prises- : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5

mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le

taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté

dès le début par d’éminents experts en épidémiologie5. Mais, même en prenant ce

taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui

de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).

 

-«Mais, la COVID-19 est une maladie grave» et nous répondons : C’EST FAUX. Le

SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de

formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger

pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se

propage moins rapidement que la grippe6 et 90% des personnes décédées sont des

personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres

populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire»

l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce

n’est pas pire que la grippe»

 

-«Mais, il y a des personnes asymptomatiques» et nous répondons : dans la grippe

aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre

le virus8. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des

masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1

milliard de personnes et en tue 650,000.

 

-«Mais, ce virus entraîne une saturation des hôpitaux» et nous répondons : C’EST

FAUX. La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens

que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors

qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai

d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que

4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés

car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York

aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été

submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de

grippe9 et qu’à cette époque, on parlait même de : "tsunami" de patients dans les

hôpitaux, "d’hôpitaux saturés", de tentes érigées à l'extérieur des hôpitaux, de "zones

de guerre", "d’hôpitaux effondrés" et d’un "état d'urgence".

 

Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

 

2. Nous disons : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences

catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés

comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques,

paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts

négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout

chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences

conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens

savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins

13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences

sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de

déclenchement de guerres. Un editoria publié dans l’European Journal Of Clinical

Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises

non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle

du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues). Certains

ont même comparé cette pandémie à la celle de la grippe de 1918, ce qui est un

MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui

n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

 

3. Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme

c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie

pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle

que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des

contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un

traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens

et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

 

4. Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour

leur empêcher de dire la vérité10 (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

 

5. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans

le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.

Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition11 d’un cas en

épidémiologie est : «la survenue de nombreuses issues possibles : maladies,

complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit

comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de

symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services

d’urgence». Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter

de les mélanger.

 

6. Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction

n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus

(avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2

sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID-

19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre

chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une

manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe

saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20%

des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12. Après

réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen13 ont

montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les

professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu'un patient qui a été testé

positif mais traité avec succès puis sorti de l'hôpital, sera toujours compté comme un

décès COVID même s'il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois

mois plus tard. Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention)

d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient

bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au

coronavirus.

 

7. Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi-

systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les

protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts14.

 

8. Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et

cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques.

Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs

performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres

coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de

faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut

surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie7, le

taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent

ces cas de faux positifs ont été censurés15. Nous disons donc : STOP à l’obligation

des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de

vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est

un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons

dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le

SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

 

9. Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites

partie des populations à risque. Si les chaînes de télévision font la même chose avec

la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La

télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000

morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en

moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque

année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque

année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle

de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas.

Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui-même.

 

10. Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir

tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure

d’hygiène la plus efficace. Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et

pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la

préservation de la santé publique mais c’est de la folie.

Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé16 et le transforme en nid à microbes. "Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l'enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager", a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste. Lorsqu'on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a

répondu : «En raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens

peuvent se mettre plus en danger». Même les dentistes ont récemment mis en garde

contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de

masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des

maladies parodontales ou une très mauvaise haleine. «Nous voyons beaucoup de

gens avec plus d'inflammation, plus de caries et de maladies des gencives…Nous

constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis

toujours et des caries chez des personnes qui n'en ont jamais eu auparavant…

Environ 50% de nos patients sont impactés par cela», déclare le Docteur Rob

Ramondi, un dentiste. «Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que

par le nez lorsqu'ils portent un masque…La respiration buccale provoque la

sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est

ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents…Les patients nous disent : ‘Wow,

mon haleine sent, j'ai besoin d'un nettoyage’. [Mais] quand vous avez une mauvaise

haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de

bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche…

 

Les maladies des gencives -ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque», explique le Docteur Marc Sclafani, un autre dentiste. De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués. Ce que vous portez est un masque, en

apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité. D’autant plus que, comme

le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée

dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS.

En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e

vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque

et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à

la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

 

11. Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont

montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les

maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou

certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste.

Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les

combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias17.

Faire cela relève de la folie. Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de

température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire.

Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

 

12. Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations

sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale,

etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la

médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique. Il n’y a aucune raison

scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque5. Le

Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit : «Obliger tout le monde à les

porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et

médicale». Le Professeur Didier Raoult dit : «La décision du confinement comme la

décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques…».

 

Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire,

disent : «Nous ne recommandons pas d'exiger du grand public qui ne présente pas

de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en

tissu ou chirurgicaux car : il n'y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces

pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…».

Le Professeur Maël Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : «politique, pas scientifique».

Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ?

 

 

La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique

qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants

viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement

dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des

masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de

masques qui finiraient chaque mois dans l’océan18. De plus, les masques

chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer !

 

Nous disons donc aux gouvernements : STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

 

13. Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous

êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais,

faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres

injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de

50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas

l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos

concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas,

ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du

côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu

les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons que ces mesures n’ont

rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique,

c’est de la dictature et de la folie.

 

14. Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la

soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission

aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale

avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez

vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les

masques, sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation

sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl

Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la

médecine basée sur les preuves, disent : «Il n'y a aucune preuve scientifique pour

soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité

sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous

tous».

 

15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.

Les succès de l'OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées

grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac

a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est

depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des

laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très

connue) et les faits s'accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des

lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS

avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux

conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration

des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des

désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les

Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des

entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le

traitement du paludisme. L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la

fois par l’influence des lobbies industriels -surtout pharmaceutiques- et par les

intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit :

«Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils

sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous-

estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de

négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une

enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une

édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée,

soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à

l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas

acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et

qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore

plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait

découvert la fraude.

 

À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la

commission santé de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, a critiqué

l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de

l'OMS, déclarant qu'elle a conduit à la situation où "inutilement des millions de

personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés" et que,

pour une souche de grippe, elle était "beaucoup moins nocive" que toutes les

épidémies de grippe précédentes20. Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le

vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le

voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une "fausse pandémie",

l’a qualifiée de "l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle" et a demandé

l’ouverture d’une enquête.

 

En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été

modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent

vendre les vaccins aux pays du monde. Selon un rapport21 de l'Assemblée

parlementaire du Conseil de l'Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par

l’OMS : «gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées

relatives aux risques de santé…De graves lacunes ont été identifiées en ce qui

concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui

soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique

aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie.

L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse

chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé

publique». L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et

la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé

publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de

H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui

s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret

Chan22. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que la plupart

de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises

pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : «c’est une réunion

privée»…

 

16. Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables

de l’OMS soient interrogés en particulier celui qui a fait la promotion internationale du

confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a

égaré le monde. En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation

internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à

l’épidémie23. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a

souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en

inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine !

 

Une fois, il a aussi qualifié la Chine de «très ouverte» et «très transparente».

Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait

la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde

doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des

"méthodes à l’ancienne" ?

 

Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier.

Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on

peut lire que les méthodes chinoises sont : "agiles et ambitieuses"), les pays du

monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément

l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en

présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive

alors que ce n'est absolument pas le cas.

 

Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie importante de la

vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la Chine lorsqu’une journaliste lui a

posé une question sur le refus de l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la

Chine) par l’OMS : il a fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette

dernière lui a été reposée, il a coupé la communication !

(la vidéo a été visionnée plus de 8 millions de fois) !

 

C’est lui aussi qui a dit fin Février : «Il n’existe actuellement qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité : le remdesivir».

Comment peut-il dire cela avant même la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ?

 

Des élus Canadiens de la Chambre des communes ont même sommé ce

responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à

témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti

conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la

COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré

l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est

basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre

de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. En plus, des

mois après : le monde a découvert que ces chiffres n’étaient même pas vrais !

Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de l’OMS parce que,

selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre de cas en les gonflant.

 

Les gens qui sont derrière le confinement, la psychose et la terreur mondiales,

lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se disputer pour des

pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre comme si c’était la peste, les gens

confinés comme s’ils étaient des animaux, les rues désinfectées, les policiers

frappant les citoyens qui sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens

sortant avec des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le fait

que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils soient en train de rire de

la facilité avec laquelle ils ont manipulé des pays entiers et peut être même qu’ils les

traitent de moutons.

 

La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées

avec de l'eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des

plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si

c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le

masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du

corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les

poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de

l'étranger ont été "isolés" !

 

Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité

et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui

entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent.

L'OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a

réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une

copie conforme de la Chine. Quelques pays seulement ont refusé d’imiter

bêtement les autres, comme la Suède ou la Biélorussie qui peuvent être félicités. Le

président d’un pays européen a eu raison de dire : «Il ne s'agit que d'une psychose

plus dangereuse que le virus lui-même». Des experts de renommée internationale

ont qualifié l’alerte mondiale de «disproportionnée». Le Professeur Jean-François

Toussaint a dit : «Il me semble que l’OMS a une très grande responsabilité en

n’ayant pas su établir la priorité, en ayant continué inlassablement à répéter qu’il

s’agissait d’une menace pour l’humanité» (Journal International de Médecine, 13

Juin 2020).

 

17. Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS car elle n’est pas une

société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu.

Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une

ancienne ministre de la santé27 d’un pays européen a répondu : «C’est une décision

de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui

demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés

pour les vaccins nécessaires».

 

Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les

conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ;

Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un

pays européen : «Un membre éminent de la commission Maladies transmissibles de

ce Haut Conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont

16,563 euros de [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule

concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce Haut Conseil qui a rendu le fameux

avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants…je ne vois pas de trace

dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts...Si un

membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas

participer aux débats ni à la rédaction de l’avis ... Or en bas de cet avis, on ne

mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant

participé au vote. C’est un grave manquement au règlement».

 

Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a déclaré : «La

profession médicale est achetée par l'industrie pharmaceutique, non seulement en

termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d'enseignement et de

recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d'être les agents

rémunérés de l'industrie pharmaceutique. Je pense que c'est honteux».

Ceci ne doit bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.

 

18. Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les

modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité

et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux

politiques folles de confinement. En effet, une université européenne qui a des liens

forts avec l’OMS avait dit que :

-50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final

seulement 177 sont décédés.

-la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont

décédés.

-la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont

décédés29. Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est

révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à

dénoncer l'argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une

grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette

université30, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de

116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.

Et aujourd'hui, c'est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la

planification de la pandémie de grippe, qu'ils ont donné leurs prévisions

astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni,

2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en

France31 ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier

Raoult qualifie ces modélisations de : «forme moderne des divinations».

 

Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le

fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que

celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne

respecte même pas ce qui leur préconisait. Là aussi, une enquête mérite, d’être

menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le

Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement : «Il faut à tout

prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision.

 

D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés

pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à

suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En

France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures

fantaisies». Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies»

était une affirmation tout simplement mensongère. Au contraire, le confinement a

tué beaucoup de gens.

 

19. Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un

certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons

suivantes :

 

-Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des

sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas

des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée

contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus

saisonniers33. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes

sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger

le business plan du vaccin.

 

-C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être

inefficace.

 

-Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et certains appellent à

accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les

animaux, ce qui est risqué. Tester les vaccins sans prendre le temps de bien

comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés

pendant la pandémie et à l'avenir.

 

-Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants34 :

en 2004, l'un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite

chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test

avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant

plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre

coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour

les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires

ont été observés dans des études animales pour d'autres virus, y compris le

coronavirus qui cause le SRAS.

 

-Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience

dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des

technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les

risques pour la santé.

 

-La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux

dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).

Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la

grippe H1N1 : «Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de

revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le

cash flow».

 

L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 : «Quand

il y a une épidémie comme le COVID, nous on voit : mortalité, quand on est

médecin,…ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars…vous avez

des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des

milliards»35.

 

Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies

infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : «On n’en

a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale». Le site internet

du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit :

 

«L’épidémie est terminée en France … en tant que médecin, je n’hésite pas à

anticiper les décisions du gouvernement : Il faut non seulement refuser ces

vaccins [contre la COVID-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement

mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production».

 

-Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques :

comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques,

de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent

leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en

développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans

qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport36

rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré

des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par

exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite

malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un

laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été

accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.

 

-Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs

pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin

devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont

les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent

des citoyens ! À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT

contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il

soit supprimé. Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent.

Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord.

 

-Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie

et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins

puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :

Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de

personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un

an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant

une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte

ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la

vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des

cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans

les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical

Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin

dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des

victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été

touchée aussi par la narcolepsie.

 

La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où les patients

s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des accès brusques de sommeil de

quelques minutes qui surviennent n’importe où et n’importe quand dans la journée

(somnolence diurne) et ils sont victimes aussi de crises impressionnantes de

cataplexie (brusque relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion

forte comme un éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une

faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois même une

chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction mentale et la

mémoire et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales. Peter Todd,

un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: "Il

n'y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont

incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments". Parmi les enfants

victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti-

narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l'aider à rester éveillé pendant la journée à

l’école. "Si vous le faites rire, il s'effondre. Sa mémoire est abattue. Il n'y a pas de

remède. Il dit qu'il souhaite qu'il ne soit pas né. Je me sens incroyablement coupable

de l'avoir fait vacciner", a déclaré sa mère. Les familles ont subi un calvaire qui a

duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice.

 

Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen ! Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique, en 2018 :

 

Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la

suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades. Certains ont besoin

d'opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des

familles n'en ont pas les moyens. Pour la procureure, les responsabilités se

partagent entre le laboratoire qui a vendu "un vaccin dangereux" et le gouvernement

qui a mis en place une campagne de vaccination "massive et indiscriminée", dans

des conditions déplorables.

Le docteur Erwin Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des autopsies d'enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes résultats :

"Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons…et des organes enflés".

Ce vaccin s'annonçait pourtant comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en grande pompe la mise sur le marché d'un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C'était une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d'euros d'investissements. Pourtant dès le début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique :

 

Le docteur Antonio Dans a tenté d'alerter sur les résultats non concluants des

premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur Scott Halstead, un

spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s'inquiétait, a même envoyé

une vidéo diffusée au Sénat du pays en question pour l’exhorter à suspendre le

programme de vaccination. L'ancienne ministre de la Santé du pays en question a

été inculpée dans ce scandale.

"C'est l'appât du gain, qui a tué ces enfants", estime la procureure Persida Acosta.

 

20. Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas

sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour : une

adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce que le confinement pour elle

durait 300 ans41, une femme enceinte a souffert le martyre lors de son

accouchement en France42, un adolescent aux États-Unis nécessitera une

intervention chirurgicale après avoir été agressé par un couple à qui il a demandé de

porter le masque, une infirmière a également été agressée en France et un chauffeur

de bus est même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de

masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des

retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000

personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam),

le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays43, des

entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits -

touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation

internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis44,

etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et se retrouvent

piégés et tués à cause des masques : «Le pauvre animal trébuchait et tombait sans

cesse, les élastiques du masque s’étaient resserrés autour de ses pattes, dont les

articulations étaient gonflées et le faisaient souffrir…J’ai bien peur que ce goéland

soit la première d’une longue série de victimes», ont déclaré des employés de la

société royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet et

l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser aussi que la cause

initiale et première du drame de George Floyd est le confinement : s’il n’y avait pas

de confinement, il n’aurait pas perdu son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il

n’aurait pas été assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les

affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos aux Etats-Unis

aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui encore vivant parmi nous.

 

21. Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état

normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de

l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit

cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez

été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. Le professeur Carl

Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la

normale n'est pas fondée, selon l'Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit

Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?». Le maire

d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est

particulièrement lourd et devient suspect». Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre

intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou».

 

Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à

propos des mesures prises, y compris celles du confinement : "mesures grotesques,

absurdes et très dangereuses...un impact horrible sur l'économie mondiale...auto-

destruction et suicide collectif…". Une enquête internationale et indépendante doit

être ouverte et les responsables doivent être jugés.

 

22. Nous disons aux citoyens : pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible

que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en

nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce

sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales,

scientifiques et documentées.

 

23. Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence

envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé

signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté :

soutenez-le MASSIVEMENT. Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents

professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont

dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller !

 

Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales «made in China» seront imposées. Vous devez REFUSER ça. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie. Le Docteur Anders Tegnell a dit : «Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l'encontre de ce que l'on sait sur la gestion des pandémies de virus». 

 

24. Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et

courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT

dans le collectif : United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant

les 4 informations suivantes : prénom, nom, profession et pays à :

 

join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

 

 

La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

 

Albert Einstein disait :

"le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,

mais par ceux qui les regardent sans rien faire".

 

SIGNATAIRES :

 

Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine

specialist, Austria

Ghislaine Gigot, general practitioner, France

François Pesty, pharmacist, France

Catherine Raulin, general practitioner, France

Laurent Hervieux, general practitioner, France

Geneviève Magnan, nurse, France

Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg

Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium

Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile

Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France

Daniele Joulin, general practitioner, France

Mohamed Zelmat, clinical biologist, France

Nadine Blondel, nurse, France

Hélène Banoun, clinical biologist, France

Estelle Ammar, speech therapist, France

Caroline Durieu, general practitioner, Belgium

Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland

Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America

Fabien Quedeville, general practitioner, France

Michel Angles, general practitioner, France

Dominique Carpentier, general practitioner, France

Christophe Cornil, plastic surgeon, France

Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium

Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America

Tasha Clyde, nurse, United States of America

Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany

Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician,

Belgium

Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France

Karim Boudjedir, hematologist, France

Caroline Heisch, osteopath, France

Eric Blin, physiotherapist, France

Vincent Schmutz, dental surgeon, France

Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa

Virginie Merlin, nurse, Belgium

Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium

Marie-José Eck, general practitioner, France

Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France

Christine Villeneuve, psychotherapist, France

Philippe Voche, plastic surgeon, France

Gérard Bossu, osteopath, France

Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America

Richard Amerling, nephrologist, United States of America

Phil Thomas, general practitioner, South Africa

Manfred Horst, allergologist and immunologist, France

Sybille Burtin, public health physician, France

Chantal Berge, nurse, France

Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France

Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium

Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon

Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium

Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic

Cerise Gaugain, midwife, France

Delphine Balique, midwife, France

Marion Campo, midwife, France

Olivier Chailley, cardiologist, France

Johan Sérot, physiotherapist, France

Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium

Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak

Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America

Pascal Leblond, nurse, France

Sybille Morel, nurse, France

Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France

Graziella Mercy, nurse, France

Pierre Maugeais, general practitioner, France

Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America

Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico

Martin Boucher, nurse, Canada

Evelyne Nicolle, pharmacist, France

Agnès Dupond, general practitioner, France

Azad Mitha, general practitioner, France

Ines Heller, physiotherapist, France

Marie Laravine, nurse, France

Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak

Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America

Mary Baty, dental hygienist, United States of America

Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru

Professor Christophe de Brouwer, public health physician, Belgium

Corinne Dodelin-Bricout, pediatrician, France

Jana Schwiek, pharmacist, Germany

Thierry Gourvénec, pédopsychiatrist, France

Stefan Landshamer, pharmacist, Germany

Christine Schirmann, physiotherapist, France

Jean Pierre Garcia, general practitioner, France

Thomas Haase, pharmacist, Germany

Louis Fouché, anesthesiologist and intensive care physician, France

Michael Knoch, physician, Germany

Claire Charton Promeyrat, nurse, France

Kerstin Schön, neurology, psychiatry and psychotherapy specialist, Germany

Paul-Conrad Delaëre, physiotherapist, France

Manon Dannenmuller, physioterapist, France

Catherine Solignac-Fernström, immunoallergist, France

Cécile Andri, physician, Belgium

Perrine Terrasse, physiotherapist and nutritionist, France

Maria Ojeda, physiotherapist, France

Cornelia Schielein, pharmacist, Germany

Felix Schielein, pharmacist, Germany

Christine Dubois, nurse, France

Angelique Huet, nursing assistive personnel, France

Noémie Marguet, general practitioner, France

Michel Charluet, physiotherapist and osteopath, France

Hind Mahmoudi, nurse, Switzerland

Isabelle Riou, nurse, France

Jean-François Bertholon, physiologist, France

Clotilde Branly, midwife, France

Isabelle Ducros, nurse, France

Caroline Viane, allergist, France

Edouard Descat, radiologist, France

Matthias Pietzner, pharmacist, Germany

Catherine Salvi-Defrasne, general practitioner, Switzerland

Brigitte Debourg, nurse, France

Amandine Thomasset, psychiatrist, France

Nathalie Garcia-Bonnet, general practitioner, France

Christiane Conte Guiraud, endocrinologist, France

Martine Matthey, nurse, France

Daniela Engel, general practitioner, France

Florent Collonge, physiotherapist, France

Hélène Feuvrier-Romand, general practitioner, France

Olivier Catry, physiotherapist, Luxembourg

Elena Andrei, general practitioner, Romania

Dorothée Bordier, pharmacist, Switzerland

Sophie Biénabe, emergency medicine physician, France

Francesco Martini, digestive surgeon, France

Bruno Valois, general practitioner, France

Florence Jonville, nurse, France

Céline Deladreue, pharmacist, France

Laura Meyer, physiotherapist, Belgium

François-Xavier Clément, anesthesiologist, Switzerland

Leandro Patterson Silva, general practitioner, Cuba

Pierre Gautron, nurse, France

Corinne Daurat, nurse, France

Emmanuel Agyemang, nurse, France

Jean-Philippe Wispelaere, nurse, France

Marc Keucker, legal medicine specialist, France

Marta Barreda González, general practitioner and public health specialist, Spain

Carmela Scuncio, nursing assistive personnel, Switzerland

Didier Mariéthoz, nutritionnist, Switzerland

Murielle François, pediatrician and endocrinologist, France

Alain Roguet, dental surgeon, France

Christine Albanel, dental surgeon, France

Delphine Rive, general practitioner, France

Jérôme Le Bihan, general practitioner, France



13/09/2020
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