COULEURS-DE-LA-VIE

La musique basse vibration comme outil de contrôle émotionnel collectif

La musique a toujours été un médicament.

Une clé pour ouvrir l'âme.

Une façon de se connecter au sacré, au corps, au ciel.

Mais quelque chose a changé.

Aujourd'hui, une grande partie de ce qui est massivement consommé comme « divertissement musical » est loin d'être guéri.

En fait, beaucoup de chansons modernes n'élèvent pas ... mais s'ancrent.

Ils ne libèrent pas ... mais ils programment.

As-tu remarqué ?

Rythmes répétitifs. Des lettres vides. Approche constante sur la violence, le désir inconscient, la consommation, l'ego, la rivalité ou le vide émotionnel.

Et tout ça se danse, se chante, se normalise.

Mais le plus puissant n'est pas ce qu'on entend avec les oreilles ... mais ce qui pénètre par fréquence.

Beaucoup de ces sons sont accordés à des échelles qui altèrent vos vibrations naturelles.

Des fréquences qui ne s'harmonisent pas avec le cœur humain, mais dérégulent le champ énergétique.

Des rythmes conçus pour ne pas créer la paix ... mais pour rester coincé dans une stimulation constante et superficielle.

Parce que quand l'âme est connectée ... pas besoin de bruit.

Mais quand elle est déconnectée, elle a besoin de rythme pour ne pas sentir le silence.

La musique peut être utilisée comme médecine vibratoire ...

Ou comme outil de manipulation émotionnelle collective.

Et l'industrie le sait.

Les masses ne sont pas maîtrisées par des arguments.

Ils sont dominés par des émotions provoquées par des stimuli répétés.

Et peu de stimuli sont plus efficaces que la musique.

Réfléchis :

Pourquoi les chansons les plus populaires répètent-elles les mêmes mots, idées et émotions encore et encore ?

Pourquoi les artistes qui chantent sur la conscience, la connexion ou la vérité arrivent rarement au sommet de la radio ?

Ce n'est pas seulement du goût. C'est de la programmation.

Si vous vibrez bas, vous ne vous connectez pas à vous-même.

Et si vous n'êtes pas connecté, vous êtes plus facile à guider, à consommer, à se taire.

Est-ce que ça t'est arrivé que tu ne tolères plus

certains genres ou lettres comme avant ?

Que ton corps est mal à l'aise, même si tu ne sais pas pourquoi ?

Tu n'exagères pas.

Ta fréquence n'est plus adaptée à la manipulation déguisée en « hit ».

C'est pourquoi quand tu commences à te réveiller, tu changes aussi de musique.

Vous cherchez des mélodies qui guérissent, des paroles qui élèvent, des sons qui harmonisent. 

Parce qu'il ne s'agit plus que de ce que tu entends.

Il s'agit de comment tu vibres après l'avoir écouté.

Avez-vous ressenti ce changement dans votre relation avec la musique ?

Geral Bustamante