Dr Hamer & Cancer : Quelques exemples pathologiques. (3)
Dr Hamer & Cancer : Quelques exemples pathologiques. (3)
Le nid représente, chez l'être humain, le foyer et les enfants. Il peut s'agir d'un conflit entre une mère et sa fille ou d'une fille avec sa mère. Ce conflit « mère-poule » crée un cancer du sein gauche chez une droitière et un cancer du sein droit chez une gauchère.
Exemple : une maman qui s'inquiète pour son enfant gravement malade.
Le territoire représente, chez l'être humain, la maison, les meubles, le mari, la belle-mère, le beau père, le beau-frère, la belle s�ur, la s�ur, le frère, etc. mais cela peut être l'enfant si la relation est distante. Dans ce type de conflit, qui ne provient pas directement de l'enfant lui-même mais plutôt de l'extérieur, c'est la « mère-poule » qui protège son foyer.
Ce conflit crée un cancer du sein droit chez une droitière et un cancer du sein gauche chez une gauchère.
Le mélanome du sein : Quand il y a conflit avec une notion de souillure, de honte, de gêne, quelque chose de moche dans le foyer, cela peut provoquer un mélanome au sein gauche chez une droitière et si ce conflit de souillure est en relation avec le territoire, un mélanome du sein droit chez une gauchère. La localisation du mélanome est en relation avec la coloration psychique.
Exemple : une patiente droitière chez qui on a décelé un cancer du sein gauche et qui en voyant dans les yeux de son mari un détournement de son regard, fait un conflit de honte qui crée, quelques semaines plus tard, un mélanome au sein.
Exemple : une patiente droitière ne supporte plus sa belle-mère qui vient régulièrement chez elle mais elle n'ose pas le dire à son mari car il adore sa mère. Elle pourra développer ce type de cancer au sein droit.
Cancer des canaux galactophores : Quand il y a séparation et perte de contact, donc l'éloignement, avec l'enfant (sein gauche) ou le mari (sein droit).
Exemple : une patiente droitière ne supporte pas que son mari soit absent toute la semaine pour son travail. Elle est heureuse qu'il ait pu, après plus d'un an de chômage, obtenir un emploi, mais n'arrive pas à accepter ses longs déplacements. Elle pourra développer ce type de cancer.
* Le bassin sera touché par un conflit de dévalorisation sexuelle.
* Les vertèbres sont en relation avec la coloration psychique : « je suis le pilier de la famille ».
* Les côtes, une dévalorisation provoquée par le milieu familial
* Les cervicales basses, un conflit d'injustice qui dévalorise.
* Les cervicales hautes et la voûte du crâne, un conflit intellectuel de ne pas être à la hauteur de la situation.
Si je fais un conflit de dévalorisation de mère, ce sera bien évidemment, un cancer des ganglions du bras gauche.
Dans le cas d'un cancer du sein, la dévalorisation légère portera sur les os proches du sein atteint, tels l'os de l'humérus ou des vertèbres du dos.
Les conflits légers de dévalorisation chronique provoqueront de l'arthrose, des rhumatismes, des douleurs musculaires aux endroits en relation avec le conflit.
Si le patient ne fait qu'un conflit aigu & dramatique en état d'inhibition, il ne fera jamais qu'un cancer. Un animal ne fait un cancer qu'en relation avec le conflit qu'il a vécu. Il fait rarement un autre cancer.
L'être humain a la faculté de provoquer et de se laisser influencer par toute une série de conflits iatrogènes. Ainsi l'annonce du diagnostic est souvent le conflit le plus virulent et le plus mortel car il est difficile aujourd'hui de prouver au patient qu'on ne meurt pas d'un cancer, mais que l'on meurt à cause du stress aigu de la peur de l'aggravation et de la peur de la mort. La difficulté de faire passer le patient dans la certitude que le cancer ne tue pas est à mettre en relation avec l'inconscient collectif ou, selon la théorie de Rupert Sheldrake, de notre champ morphique collectif.
Le risque est de réactiver le conflit de peur du diagnostic chaque fois qu'un examen de contrôle est prévu. Il peut alors arriver qu'à la suite de ces peurs il y ait découverte d'une ombre aux poumons. Cela entraînera à nouveau une peur qui pourrait être plus importante car le cancérologue mentionnera alors des éventuelles métastases. Ce conflit de métastases crée une peur plus importante de la mort et active un réflexe de survie puissant.
Parfois, selon la pénétration des rayons et la position du patient au moment de l'examen de contrôle, une ombre qui existait déjà peut plus facilement se révéler. Cela mettra aussi en place le conflit de métastases.
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