Le coup monté du CO² ...
« Voici un sujet sur lequel je reviens parce que cela m’énerve d’entendre sans cesse tout le monde parler des rejets de CO² soi-disant responsables du réchauffement climatique. L’intox a bien fonctionné...
La recette a été la même qu’en ce qui concerne le SIDA pour lequel quelques scientifiques en vue ont émis, en tant que simple base de travail, l’hypothèse d’une relation de causalité avec le HIV.
Cette hypothèse que nul n’a jamais pu démontrer, a été politiquement reprise et érigée en dogme sacré, grillant systématiquement tout contestataire (qui risquerait de nuire au sordide fond de commerce des lobbies pharmaceutiques).
Dans le cas du CO², je ne sais pas quels sont les « allumés » qui ont lancé ce canular généreusement repris par l’ensemble des médias et la plupart des gouvernements. Il est facile de deviner que ce filon fait actuellement l’objet d’études tous azimuts pour taxer le maximum de terriens sur cet incontournable rejet.
Récemment un lecteur pas d’accord m’écrivait : « Vous réfutez des études scientifiques incontournables ». Celle-la, on me l’a souvent faite.
Ce monsieur peut-il m’expliquer pourquoi divers scientifiques de renom (non inféodés) s’insurgent contre cette relation CO²-réchauffement ?
Cela me fait penser aux mystères de la religion : en douter est déjà un péché !
Plutôt que d’avaler des couleuvres estampillées « scientifiques », faisons simplement fonctionner notre bon sens :
1. Le gaz carbonique est plus lourd que l’air et reste en bas (Cours de 4ème à mon époque).
2. Les masses d’air chaudes et froides ne se mélangent pas (donnée basique en météo).
3. Le gaz carbonique est absorbé de jour par la moindre plante et tous les arbres de la planète fonction chlorophyllienne).
4. Le gaz carbonique se dissout dans l’eau des mers et, de plus, est absorbé le jour par le plancton.
5. Les carottages de sédiments et de glace révèlent que l’histoire de la planète a connu de nombreux pics de C0² bien plus importants que le nôtre, sans inconvénients pour la vie, bien au contraire.
6. Les vrais problèmes de pollution atmosphérique se situent au niveau des dérivés nitriques, sulfuriques, chlorhydriques et des oxydes d’halogènes en général, mais pas du CO².
Parlons du Réchauffement !
* D’abord, pourquoi ne parle-t-on pas de possibilités de réchauffement en raison de la déforestation massive et de la désertification ?
* Pourquoi la mer de glace de Chamonix et des Alpes en général ont-elles commencé à se rétracter dès 1905 ?
* Pourquoi ne laisse-t-on pas les astrophysiciens témoigner du réchauffement actuel de toutes les planètes du système solaire ?
(La spectrographie gazeuse, ça n’est pas trop compliqué !)
* Pourquoi est-on si discret sur l’énorme nuage photonique à très haute énergie que notre système est en train de traverser ?
Rappelez-vous que TOUT CE QUI VIT RESPIRE, que des milliers de milliards d’insectes ainsi que la microfaune bactérienne responsable des fermentations et décompositions, dont la masse est gigantesque face au reste du règne animal, dégagent du CO².
Le problème de nos émanations technologiques ne se situe assurément pas à ce niveau.
Que le CO² soit dangereux et coupable n’est pas scientifique. C’est comme ma grand-mère qui croyait que les avions détraquaient le temps.
On nous trompe pour pouvoir créer un impôt sur l’air ou le CO² !
Mais les vrais pollueurs qui font mourir les plantes et nos abeilles qui souillent nos eaux et génèrent nos maladies, ceux-là ne sont ni visés ni concernés.”
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