COULEURS-DE-LA-VIE

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Les Gardiens oubliés du Vivant

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Les gardiens oubliés du vivant – Béchamp, Quinton, Montagnier.

 

On nous a menti. Encore.

 

Comme souvent, ceux qui portaient une vision juste, vivante, complète de la santé ont été effacés des livres, moqués par les académies, ou volontairement marginalisés.

 

Et pourtant, ils étaient là.

 

Antoine BéchampRené Quinton.  Luc Montagnier.

 

Trois hommes, trois époques, une même vérité : le corps n’est pas un champ de bataille, mais un écosystème intelligent.

 

Antoine Béchamp : le microbe n’est rien, le terrain est tout

On nous a enseigné Pasteur comme un héros, comme le père de la lutte contre les microbes. Mais Béchamp, son rival oublié, portait une vision bien plus lucide. Il ne voyait pas les microbes comme des envahisseurs, mais comme des acteurs du vivant, transformés par le milieu dans lequel ils évoluent.

 

Pour lui, le “terrain” intérieur de chaque individu - son état cellulaire, immunitaire, vibratoire - détermine tout.

 

Ce qu’on appelle “maladie” n’est pas une agression extérieure, mais une réaction intérieure à un déséquilibre profond.

 

C’est lui qui a parlé des microzymas, ces particules vivantes présentes dans tous les tissus, capables de se métamorphoser en fonction de l’état du corps. Les bactéries, les virus, les champignons ne sont pas la cause unique de la maladie : ils sont souvent le fruit du désordre interne.

 

Mais ce discours ne plaisait pas. Trop simple. Trop vrai.

 

Alors Pasteur, bien plus habile politiquement, a imposé sa théorie.

Et la médecine est devenue une guerre contre l’invisible, au lieu d’être une écoute du vivant.

 

René Quinton : le plasma originel et l’intelligence de la mer

Quelques décennies plus tard, René Quinton révèle autre chose.

Il démontre que le plasma humain a exactement la même composition minérale que l’eau de mer vivante. Pour lui, ce n’est pas une coïncidence, mais une mémoire :

 

Nous venons de la mer, et nous portons encore l’océan en nous.

 

Il soigne des milliers de personnes uniquement avec de l’eau de mer :

 

→ choléra,

→ tuberculose,

→ malnutrition,

→ eczéma,

→ anémie profonde chez les nourrissons.

 

Il ouvre des dispensaires. Il injecte de l’eau de mer stérilisée mais vivante à des enfants à l’agonie : ils survivent, ils guérissent, ils renaissent.

 

Le corps reconnaît ce qui lui ressemble. Le sang reconnaît l’océan.

 

Mais encore une fois … trop simple, trop efficace, trop peu rentable.

Alors on ferme ses centres.

On enterre ses résultats.

On le traite de rêveur.

 

Car guérir sans molécule, c’est dangereux … pour le business.

 

Luc Montagnier : la clarté tardive d’un Nobel isolé

Luc Montagnier, lui, a reçu le Prix Nobel pour avoir participé à la découverte du virus du VIH. Il aurait pu se taire. Rester sur son piédestal.

 

Mais à la fin de sa vie, il ose parler. Il ose douter. Il ose regarder ailleurs.

Il observe que tous les porteurs du VIH ne développent pas le SIDA.

Certains vivent des décennies sans traitement.

 

Pourquoi ? Parce que le terrain fait toute la différence.

Le système immunitaire, l’état psychique, l’hygiène de vie, la paix intérieure… tout cela compte plus qu’on ne veut l’admettre.

Il dit clairement :

 

“Le virus ne suffit pas à provoquer la maladie. Il faut un terrain favorable.”

 

Il rejoint Béchamp. Il rejoint Quinton. Il ose dire que l’immunité, l’environnement, et l’état intérieur priment sur le virus lui-même.

 

Et bien sûr, on le traite de fou. On dit qu’il est sénile.

On ne supporte pas qu’un Nobel dise que la vérité

est plus large que le dogme.

 

Trois hommes. Une même direction. Un même bannissement.

 

Béchamp a été effacé.

Quinton a été enterré.

Montagnier a été humilié.

 

Pourquoi ? Parce qu’ils disaient tous une chose simple et dérangeante :

 

Le corps est un système intelligent. Le virus n’est pas l’ennemi.

C’est l’état du terrain qui fait la maladie - ou la guérison.

 

Mais cela détruit le récit actuel :

 

Que la santé vient de l’extérieur,

Que le salut est dans les vaccins, les molécules, les pilules,

Que l’humain est une machine faible, dépendante de l’industrie pour survivre.

 

Et si on les avait écoutés ?

Combien de traitements inutiles ?

Combien de peurs instillées pour rien ?

Combien de morts causées non par des virus, mais par des terrains affaiblis par la peur, la solitude, la malbouffe, les émotions refoulées ?

Nous sommes faits d’eau, de lumière, de vibration.

 

Le système immunitaire n’est pas un soldat obéissant à la médecine, mais un miroir de notre état profond.

 

Il est encore temps.

Tu peux encore changer ton terrain.

Tu peux encore purifier ton sang.

Tu peux encore choisir une autre voie, en accord avec le vivant, pas contre lui.

 

Béchamp, Quinton, Montagnier n’étaient pas des génies infaillibles.

Mais ils étaient libres. Ils étaient conscients. Ils osaient regarder la vie en face.

Et aujourd’hui, leurs visions résonnent plus fort que jamais.

Ils nous avaient prévenus.

On ne les a pas crus.

 

Maintenant, il ne tient qu’à toi d’écouter, de comprendre, de transmettre.

 

Paul Flasse



16/07/2025
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