MOLNUPIRAVIR ... Il rapportera beaucoup mais ...
MOLNUPIRAVIR : Il rapportera beaucoup mais il risque de rendre le virus résistant et de faire exploser les mutations ...
par Patrice Gibertie
Pourquoi la presse ne se fait elle pas l'écho des plus grands virologues ?
Le Pr HASELTIN (Harvard) lance un appel contre la catastrophe annoncée par l'autorisation et le lancement de molécules inefficaces et dangereuses en particulier le Monulpiravir
Ils nous ont expliqué pendant des mois et des mois qu’il n’existait pas de traitement précoces. Maintenant les vaccins ECHOUENT et ils sortent de nouvelles molécules à 500 euros ou 1000 euros Le traitement , sans études sérieuses randomisées. Pendant ce temps l'ivermectine, connue, sans danger et efficace est interdite, bloquée en douanes.
La seule explication : la corruption !
* William Haseltin, un virologue de l'université de Harvard connu notamment pour ses recherches sur le virus du Sida, ce médicament pourrait induire des mutations dangereuses et ainsi faire le lit de nouveaux variants plus résistants. « Le molnupiravir a le potentiel mutagène pour altérer les fonctions du virus, mais pas pour l'empêcher de se répliquer et donner naissance à un futur variant dominant », met en garde le spécialiste, qui affirme pourtant être un fervent supporter des antiviraux.“Le virus survit et continue à se développer malgré le nombre important de mutations qu’il subit ...
Le chercheur cite une série d'expériences montrant que les coronavirus comme le MERS-CoV peuvent développer une résistance contre le molnupiravir, un peu sur le principe des bactéries antibiorésistantes. Lors de l'expérience, plus de 41 mutations du virus ont ainsi été détectées après le traitement à différents endroits du génome. Encore plus inquiétant : plus on augmente la quantité de molnupiravir, plus cela génère de mutations, en particulier sur la protéine de pointe, celle ciblée par les vaccins. « Cela montre que le virus survit et continue à se développer malgré le nombre important de mutations qu'il
subit », alerte William Haseltin. Le virus se réplique certes un peu moins vite, mais si l'on administre du molnupiravir à grande échelle, ce léger désavantage disparaîtra et nous aurons un environnement parfaitement favorable à l'émergence d'un nouveau variant dangereux, poursuit le chercheur.
In Dr. Haseltine’s career at the forefront of medical research and application, he has educated a generation of doctors at Harvard Medical School, designed the strategy to develop the first treatment for HIV/AIDS, is well known for his groundbreaking work on cancer, and led the team that pioneered the development of new drugs based on information from the human genome. His relentless focus on delivering world-changing results led TIME magazine to name him one of the “25 Most Influential Global Business Executives.”
Today, as the Chair and President of ACCESS Health International and an internationally recognized expert on the COVID-19 pandemic, Dr. Haseltine is dedicated to ensuring that quantum advancements in medical technology translate to improved health outcomes around the world.
Le molnupiravir est une molécule vieille de plus de 40ans, mutagène , cancérigène qui ne sert à rien mais qui rapportera 700 S par malade !
Merck aura sa part du gâteau avec la patate chaude de Big Pharma, le Molnupiravir présentée comme la pilule anticovid par la presse qui ne sait pas lire ...
Elle existait mais sa réputation exécrable fit que même Giléad refusa de l’utiliser En 2003 la tentation de le refiler contre l’hépatite fut abandonnée par peur de créer des mutants
VERAN VIENT DE COMMANDER 50 000 DOSES DE POISON pour 30 millions d’euros !
Il existe un vrai cousinage entre ivermectine et Pfizermectine
Par coïncidence (ou non), le médicament de Pfizer partage au moins un mécanisme d’action comme l’ ivermectine – un antiparasitaire utilisé chez l’homme depuis des décennies, qui fonctionne comme un déclencheur de protéase contre Covid-19, qui, selon les chercheurs, « pourrait être la base biophysique de son efficacité antivirale. »
Et voilà, le nouveau médicament de Pfizer – que certains ont surnommé en plaisantant « Pfizermectine », est décrit par le géant pharmaceutique comme un « puissant amplificateur de protéase ». Le médicament, conçu pour bloquer l’activité d’une enzyme clé nécessaire à la multiplication du coronavirus à l’intérieur du corps humain, sera administré avec une faible dose de ritonavir, un médicament plus ancien largement utilisé dans les traitements combinés de l’infection par le VIH.
Le principe de ce comprimé est d’inhiber l’action de la protéase, une enzyme qui permet la réplication des protéines fabriques sous l’effet du Sars-CoV-2, et donc de stopper la prolifération du virus dans l’organisme
Le président de la R&D de Pfizer, Mikael Dolsten, résume ainsi la philosophie scientifique de ces nouveaux essais : «Au regard de l’impact qu’a encore le Covid-19 partout dans le monde, nous considérons que la lutte contre cette épidémie requiert un traitement efficace à administrer aux personnes positives, ou simplement exposées au virus, en complément de l’action des vaccins qui renforcent l’immunité. Si nous réussissons, nous pensons que ce traitement aidera à bloquer le virus avant qu’il ne se réplique à grande échelle dans l’organisme, et empêchera peut-être ainsi les personnes exposées de contracter les symptômes les plus graves.»
Le prix Nobel de médecine Satoshi Omura fait la leçon aux affidées de big pharma … l’ivermectine joue deja ce rôle
Vous interdisez l’ivermectine et vous réfutez les dizaines d’études randomisées qui prouvent son efficacité sur le covid humain car une étude française ne parvenait pas à prouver l’efficacite de l’ivermectine sur des hamsters et une autre in vitro nécessitait des doses trop fortes ...
Laissez moi vous expliquer…
Avec des termes plus scientifiques le prix Nobel reprend tous les arguments hostiles d’un côté de l’autre les 21 études randomisées contrôlées, les 90 études observationnelles favorables . De manière fort policée il explique…
La prestigieuse revue Japanese Journal of antibiotics vient de publier une synthèse sur les études réalisées sur l’ivermectine contre la covid. Morimasa Yagisawa, Ph., Patrick J. Foster, , Hideaki Hanaki, Ph.D. et le prix Nobel de médecine Satoshi Ōmura, Ph.D.1.
Le 27 février 2021 la méta-analyse a été réalisée sur 14 906 patients dans 42 études cliniques (dont 21 essais contrôlés randomisés avec 2869 patients). Il a rapporté des améliorations de 83% dans le traitement précoce, 51% dans le traitement tardif, et 89% dans la prévention de l’apparition de la maladie. Sur la base des résultats de ces 42 essais, il conclut que la probabilité que ce jugement sur les performances cliniques supérieures de l’ivermectine soit faux est estimée à 1 sur 4 billions.Malheureusement les études randomisées sont dans cet ensemble peu nombreuses et certaines comportent des biais L’impossibilité de mener une grande étude randomisée en occident est scandaleuse.
Il reprend une autre méta analyse de Hill en soulignant la ,bizarrerie des conclusions qui ne correspondent pas aux résultats
Il s’interesse au seul argument des adversaires ; la concentration efficace d’ivermectine contre le SRAS-CoV-2 dans une expérience in vitro, est trop forte pour l’homme.) Il lui explique que c’est un classique et que cela n’infirme pas l’efficacité de doses bien plus faibles sur l’homme.
Il s’efforce de comprendre le blocage : LES CAPACITES DES MACROLIDES NE SONT PAS CELLES QUE VOUS CROYEZ
(1) activité antivirale,
(2) inhibition de la relation entre le virus et la cellule hôte,
(3) les actions liées à la régulation de réactions de l’hôte.
Les médecins de terrain se voient confirmer leur intuition de soigner avec des macrolides et par la même occasion l’âne batté qui préside l’ordre des médecins est ridiculisé.
Lorsque l’efficacité de l’ivermectine pour la pandémie de COVID-19 sera confirmée avec la coopération de chercheurs du monde entier et que son utilisation clinique sera réalisée à l’échelle mondiale, il pourrait s’avérer très bénéfique pour l’humanité. Il peut même s’avérer comparable aux avantages tirés de la découverte de la pénicilline – considérée comme l’une des plus grandes découvertes du XXe siècle. Ici, une autre utilisation de l’ivermectine, qui a été qualifiée de «miracle» ou «Merveille» , est ajoutée. L’histoire a démontré que l’existence de composés dérivés de produits avec des effets aussi divers sont extrêmement rares.
D’autres laboratoires concurrents de Pfizer, comme l’américain Merck & Co ou le suisse Roche, ont annoncé qu’ils se lançaient également dans la recherche et la mise au point d’un comprimé similaire à celui sur lequel Pfizer continue de faire ses essais cliniques.
Il y a consensus scientifique sur les points indiqués ci dessous
L’ivermectine stimule le système immunitaire en augmentant la production d’IL-1 et d’autres cytokines, ainsi qu’en activant la production d’anions superoxyde et en augmentant la réponse des lymphocytes aux mitogènes. L’ivermectine s’est avérée efficace dans le traitement des infections causées par des virus à ARN tels que le virus respiratoire syncytial , la dengue, la grippe, la rage et les virus Zika .
L’ivermectine inhibe la réplication du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) en inhibant l’interaction de l’ intégrase du VIH-1 et de l’ hétérodimère α / β1 de l’ importine . Notamment, l’importine est responsable de l’importation nucléaire d’intégrase.
Dans une étude in vitro menée par Caly et al., L’ivermectine a été utilisée comme inhibiteur potentiel de la réplication du SRAS-CoV-2. Ils ont montré que l’ajout de 5 μM d’ivermectine à des cellules Vero / hSLAM infectées par le virus était capable de réduire le taux d’ARN du SARS-CoV-2 d’environ 5000 fois, par rapport aux témoins en 48 h
Au-delà de ce consensus des études valident l’utilité de l’ivermectine contre la covid. Elle a largement été utilisée en Asie, Afrique , Amérique centrale et Caraïbe. En occident elle est souvent achetée directement chez le producteur indien du kit Ziverdo.
Nul doute que son utilisation perdurera dans les pays qui n’auront pas les moyens de gaver Big Pharma
La responsabilité de la presse dans la diffusion de fausses nouvelles surprendra les historiens de demain. Ils comparent la situation actuelle à celle de l’an dernier en oubliant qu’il y a trois semaines de décalages, malheureusement les hospitalisations et les décès suivent la contamination de deux ou trois semaines.
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