Nos désirs de lipides ou graisses.
Dans l'obésité, bien avant l'excès alimentaire, il y a la peur de manquer. Une croyance que nous pourrions manquer, c'est-à-dire ne pas être capable de faire face au manque. Un « au cas où ».
Mais il n'y a pas de lien entre l'obésité et le désir de graisse. Voire entre l'obésité & le volume alimentaire. La clé, c'est la peur de manquer et d'être abandonné.
Il existe une réserve de graisse qui n'est jamais mobilisable quoi que l'on fasse. Cette réserve est gérée par une hormone : la leptine. Cette réserve sert uniquement comme ultime réserve en cas d'allaitement. Sa présence excessive traduit une angoisse de l'abandon en lien avec une mémoire qui renvoie à cette période de la vie. Cette zone graisseuse peut rester présente malgré un amaigrissement général, et a même été retrouvée dans des populations en grande famine. Elle garde un stock alimentaire pour permettre la survie et la reproduction de l'humanité. C'est la culotte de cheval.
La vie est bien faite. Les hommes & les femmes ont une morphologie différente et un taux de graisse différent. Les hommes 15 %, les femmes 25 %. Si on prend cette masse graisseuse et qu'on le calcule en valeur de réserve de calories chez l femme, c'est exactement la quantité de calories dont une femme a besoin et consomme pour fabriquer un bébé pendant une grossesse.
Le désir de gras traduit un besoin de protection face à une situation stressante. Notre organisme appelle des lipides dans plusieurs objectifs.
Constituant des membranes, ils transmettent l'information. Ils sont mis à l'épreuve dans les stress externes mais aussi internes. Ils souffrent en premier rang quand nos croyances nous éloignent de la réalité de la vie. Les maladies dégénératives nerveuses se caractérisent souvent par une chute du taux d'acides gras libre. Catherine Kousmine l'avait bien compris en recommandant l'usage des huiles de première pression à froid. Ils sont le garant de la souplesse & de l'adaptabilité face à la vie. De la transmission des messages.
Constituant de nos anticorps, ils participent à nos systèmes de défense.
Pour fabriquer nos hormones (par le système du cholestérol), qui sont la capacité et le souhait d'affirmer ce que l'on est.
Biologiquement : les triglycérides traduisent une révolte face à un monde vu comme injuste. C'est toujours de la faute des autres.
Le cholestérol serait une tentative de protection de notre ego qui se sent faible. Dans ce sens un aspect de choix de défense par l'égoïsme.
Et pour l'anecdote, l'acide urique, c'est le prédateur dominé.
Notre désir de graisse traduit notre besoin de nous protéger. La solution peut se trouver dans la protection de la graisse « animal » ou dans des huiles. Chacune des huiles reprend la symbolique du fruit qui est à son origine. L'huile est la protection, l'huile essentielle le système de guérison de la plante.
Evoquons simplement l'huile d'olive. Savez-vous que sa composition et son rapport en acides gras libres sont sensiblement identiques à celle… du lait maternel ? Protection de l'olivier, arbre qui signifie la réconciliation de l'homme avec Dieu. Ou cherchons-nous notre protection : dans l'animal ou dans l'alliance avec Dieu ?
L'huile, c'est tout le symbole de l'onction de la justesse & de notre baptême.
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