COULEURS-DE-LA-VIE

COULEURS-DE-LA-VIE

Quelques petits papillons pour mieux prendre notre envol.

   Avant de vous tourner vers une autre personne, demandez-vous honnêtement

si elle s'est jamais vraiment aidée elle-même.

Fiez-vous à ses ailes, non pas à ses paroles.

 

Quand vous aurez enfin compris que personne ne se connaît vraiment, vous cesserez de demander aux autres qui vous êtes.

 

L'approbation ou la désapprobation d'un groupe

ou d'un individu, quels qu'ils soient,

ne changent rien à la qualité de votre vie.

 

Les gens veulent toujours que vous confirmiez

à leur attente pour leur faire plaisir.

Soyez vous-même, et faites-vous plaisir.

 

Pourquoi rechercheriez-vous l'approbation

de ceux qui ne s'approuvent pas eux-mêmes ?

 

Quand vous savez où vous allez,

vous ne vous inquiétez pas de savoir où vont les autres.

 

Si vous refusez de sauter dans le vide,

vous ne saurez jamais voler.

 

Dans le quotidien,

si vous ne remarquez pas les faiblesses

de l'autre personne,

elle remarque sans doute les vôtres.

 

Si 99 personnes vous approuvent

et que la 100e  vous regarde de travers,

votre journée est-elle gâchée ? 

 

Si vous aspirez au sommet,

que vous importe ce qui se passe dans la vallée ?

 

La vraie vie doit naître au-dedans ;

elle ne doit pas être commandée du dehors.

 

Seul le mal doit se comparer à lui-même

pour savoir s'il est bien.

 

Rien ne vous empêche de vivre une relation

que vous ne comprenez pas,

mais ce sera toujours à ses conditions…

 

Pour mieux prendre votre envol, ouvrez les yeux.

 

Cessez de vouloir être aimable et osez vous réveiller.

Aider une autre personne à démystifier la supercherie

du malheur est l'acte le plus généreux que vous puissiez faire.

 

Tant que vous vous comporterez

comme si votre vie dépendait de quelque chose

de temporel, elle en dépendra.

 

Votre courage secret sait que votre faiblesse secrète

n'est pas du tout la vôtre.

 

La fausse vie est épuisante ; la vraie vie est inépuisable.

 

La confiance que vous mettez en quelque chose d'extérieur

à vous est aussi le fondement

de votre manque de confiance en vous.

 

Si vous permettez aux autres de vous dire

où vous devez aller,

vous dépendez aussi d'eux pour savoir

ce dont vous avez besoin pour vous rendre à destination.



14/06/2007
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