Avoir conscience de la fragilité des choses.
« Puisque rien ne dure, tout se vaut », disent les Ottomans.
Emportés dans le tourbillon quotidien de nos activités, nous avons tendance à remettre à plus tard de choses pourtant importantes : téléphoner à ses parents, écrire une lettre (ou envoyer un fax ou Mail !) à un ami éloigné, ou dire tout simplement à quelqu’un qu’on l’aime.
Nous avons toute la vie devant nous, pense-t-on à tort trop souvent.
Or la vie est fragile. Tout passe, tout casse.
Ceux que nous aimons s’éloignent, meurent et il est trop tard ensuite pour prendre conscience de l’importance qu’ils avaient à nos yeux.
Une des règles de bonheur consiste ainsi à vivre chacune de nos journées comme si c’était la dernière.
Et profiter de la vie en connaissance de cause.
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