Dr Hamer & Cancer : un réflexe biologique de survie. (1)
Dr Hamer & Cancer : un réflexe biologique de survie. (1)
Une approche différente du cancer s'est développée depuis plusieurs années déjà, en particulier concernant sa dimension psycho-somatique. Le cancer n'est pas la maladie incurable qu'on s'attache à présenter au public, et la prise en compte de son aspect psychique apparaît comme une composante importante du processus de guérison.
A mesure que la médecine progresse, le malade perd malheureusement de plus en plus son identité au profit de celle de la science. Dans la plupart des cas, il n'est qu'un corps, ou plutôt des morceaux de corps accaparés par des spécialistes de plus en plus nombreux.
A l'évidence, les évènements désagréables priment les évènements agréables comme facteurs traumatiques. C'est la quantité de changement dépassant les difficultés d'adaptation de l'individu qui est à l'origine de le perturbation. Bien entendu l'évènement est d'autant plus stressant s'il vient à l'improviste et s'il est vécu dans l'isolement psycho-affectif.
Ces études, menées un peu partout le monde, essaient de décrire les types de personnalités sujettes aux ulcères gastro-duodénaux, aux infarctus du myocarde, au pupus érythémateux disséminés, aux cancers, etc.
Il semblerait que selon les circonstances dans lesquelles il survient, le stress pourrait agir positivement ou négativement sur la réponse immunitaire.
Malgré toutes les recherches, la plupart des cancérologues nient le lien entre les conflits vécus par leurs patients et l'évolution du cancer dans leur organisme.
Dans sa thèse de doctorat, il écrit « j'avais cherché le cancer dans la cellule et je l'ai découvert dans une erreur de codage du cerveau ».
Autrement dit, le choix de la maladie et le site de son développement dépendent de la réaction émotionnelle. Le traumatisme, qui s'est inscrit dans une région cérébrale bien précises, déréglerait le cerveau-ordinateur qui ne pourrait plus envoyer à l'organe sous on contrôle les ordres corrects de fonctionnement. Les cellules, sans leurs instructions reçues du cerveau, ne peuvent plus remplir leur fonction et deviennent rapidement anarchiques.
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