Quelques principes pour résister à la folie covidiste ...
Par Bertrand Leroy-Donche
Il nous arrive de déplorer la faible résistance de beaucoup de nos compatriotes au conditionnement que met en place l'Etat depuis dix-huit mois afin d'instaurer un ordre sanitaire à tendance totalitaire. Mais n'est-ce pas d'abord que beaucoup de nos contemporains n'ont pas reçu les armes de la résistance intérieure, celle qui forge les volontés pour s'opposer à la peur et à l'intimidation? La liberté s'alimente à des principes supérieurs, à ce culte des "lois non écrites" qu'Antigone oppose à Créon.
Nous avons tous besoin, au milieu de l’épreuve actuelle, de réaffirmer des principes et des vérités fondamentales qui nous permettent de tenir face aux folles décisions des gouvernements et aux flots d’informations charriant beaucoup de mensonges et de propagande. De se dire et se redire les certitudes inébranlables que nous avons acquises et qui nous permettront de résister encore face à ce qui reste à venir. Car nous sommes sans doute au début d’une sorte de coup d’Etat mondial pour imposer, sous prétexte sanitaire, une limitation drastique des libertés partout dans le monde.
Au matin du premier confinement, j’eus l’intuition puissante d’un basculement dans un monde kafkaïen et absurde. Cette impression d’absurde dura plusieurs jours au milieu de ces rues vides et désertes. Cette intuition initiale ne s’est jamais démentie depuis, renforcée au contraire par la série de mensonges, de manipulations et d’injonctions contradictoires des gouvernements. Je compris donc qu’il s’agissait avant tout d’une crise politique avant d’être une crise sanitaire. Que tout était planifié pour mettre en place des mesures liberticides et totalitaires et d’user de la peur pour contrôler les populations. La peur la plus redoutable qui soit puisqu’il s’agit de celle de la mort ! Les gouvernements du monde entier se sont donc comportés comme des clans mafieux qui se servent des menaces physiques pour tenir leurs obligés.
"N'ayez pas peur!"
Le premier principe qui m’est apparu est donc celui du Christ à ses disciples, relayé par St Jean-Paul II le Grand dans sa lutte contre le totalitarisme communiste : « N’ayez pas peur ! »
Oui, je décidais intérieurement de ne pas avoir peur du virus, de la maladie et de la mort. Envisager sereinement sa finitude et la perspective inéluctable de sa propre mort libère radicalement et permet de résister sereinement.
En outre, il est apparu assez rapidement pour celui qui voulait bien ouvrir les yeux que ce virus n’était pas très létal et qu’il touchait essentiellement les populations vieillissantes et/ou affaiblies par la maladie. Dès le début, rien ne justifiait un tel affolement et de telles atteintes à nos libertés civiles. Les traitements précoces qui apparurent très tôt, grâce au remarquable travail de vrais chercheurs comme le Professeur Didier Raoult, auraient dû suffire à traiter l’épidémie. Mais comme par hasard, tout fut fait pour les diaboliser et faire passer une molécule non toxique utilisée massivement depuis 70 ans pour une chimiothérapie agressive et extrêmement toxique.
Le bon sens
Et là apparaît un deuxième principe à mettre en œuvre pour résister : le bon sens ! Comme dit Descartes, le bon sens est la chose la mieux partagée au monde et finalement je crois que c’est vrai. Faites confiance à votre bon sens paysan qui est enfoui quelque part en vous !
Le bon sens commandait dans cette crise de tout utiliser. Or, les gouvernements interdirent ces traitements précoces et pire que tout, l’Etat interdit aux médecins de soigner ! La nature criminelle de ces décisions ne fait pour moi aucun doute.
Si cette crise n’est pas sanitaire mais que le virus n’est qu’une excuse pour prendre des décisions politiques au niveau mondial qui ne seraient pas possibles sans le contrôle extrêmement fin des populations, quelle est l’origine exacte de cette crise ? Quelle est sa nature ?
Quelques mois avant le déclenchement de l’épidémie, réfléchissant à la crise économique et monétaire que l’Occident affronte depuis 2008, j’eus la certitude que seulement deux solutions s’offraient à nos dirigeants.
- Soit laisser s’effondrer le système et notamment l’Union européenne et l’euro en proposant des alternatives politiques de décentralisation radicales répondant aux désirs identaires nouveaux des peuples (Brexit, Trump, Catalogne…) et en se servant des technologies nouvelles répondant à ce désir de décentralisation radicale, je pense notamment à la Block Chain.
- Soit accélérer le projet centenaire de gouvernance mondiale, exact opposé des désirs populaires exprimés récemment, en brusquant sa mise en place par l’installation d’un mode de gouvernance autoritaire dans tous les pays occidentaux. Il fallait simplement trouver les bonnes conditions pour réaliser ce coup d’Etat.
Le virus Covid-19 fut l’occasion rêvée. Il y eut probablement une tentative en 2009 avec le virus H1N1 mais le virus ayant évolué naturellement vers des formes bénignes, l’épidémie s’arrêta d’elle-même.
Le Codid-19 en revanche nous hante déjà depuis deux ans et chacun de ses variants provoquent une aggravation de la crise et des mesures de plus en plus liberticides et totalitaires. Il semble avoir été créé tout exprès …Le fait qu’il soit issu des recherches de gain de fonction semblent aujourd’hui une piste très sérieuse. Même si je ne crois pas que ce virus ait pu être créé dans le but d’engendrer cette panique, la question de son origine et de son instrumentalisation politique se pose de manière aiguë.
Le bénéfice des peuples est dans une organisation décentralisée
Un troisième principe politique de résistance apparait clairement ici : le bénéfice des peuples est toujours dans une organisation fortement décentralisée. Le bénéfice de l’Etat dans une organisation autoritaire et centralisée. Toutes les décisions politiques doivent être jugées selon ce principe.
Au matin du premier confinement, ces trois principes étaient déjà bien installés dans mon esprit ce qui m’a, je crois, permis de mesurer l’ampleur de la manipulation en cours au regard de la réalité, somme toute négligeable, de l’épidémie.
La dignité inaliénable et irréfragable de la personne humaine, la richesse précieuse de nos libertés personnelles, civiles et politiques, conquises de haute lutte, ne sont pas compatibles avec le régime inédit, mondial et autoritaire, qu’on cherche à nous imposer.
C’est un NON POSSUMUS radical que nous devons opposer aux dérives liberticides actuelles.
La science consiste à respecter le réel
Je souhaite maintenant aborder les principes scientifiques, heuristiques et épistémologiques qui permettent de résister à la fausse science et à la médecine corrompue qui se déversent dans nos têtes depuis le début de la crise.
Les menaces et pressions faites sur des sommités scientifiques et médicales qui ne sont pas conformes à la narration qu’on cherche à nous imposer doit alerter tout esprit rationnel. Qu’est-ce que la science ? Le doute. Le fait qu’on ne puisse pas critiquer le narratif officiel est un signe évident que nous ne sommes pas en présence d’un discours scientifique, ni même rationnel.
Le doute et la possibilité de falsifier la théorie dominante sont des principes épistémologiques qui sont aujourd’hui connus du grand public cultivé Or, face à la narration covidiste, il est interdit de douter et il est interdit de tenter de falsifier le discours dominant. Il s’agit donc de propagande, pas de science.
Ce qui m’a frappé depuis le début de la crise est cette volonté de noyer les citoyens sous des flots de statistiques qui semblent rationnelles et imparables. Les chiffres ne mentent pas…En fait si, les chiffres peuvent mentir, seuls les faits ne mentent pas.
Quatrième principe de résistance intellectuelle : La science c’est l’humble observation du réel, alliée à un discours qui suit les règles de la logique pouvant éventuellement déboucher sur une théorie mathématisée. La science n’est ni un flot de statistiques, ni de simulations numériques.
L’effondrement intellectuel des générations contemporaines permet toutes les manipulations, notamment celles des No Fake Med et celle de ceux qui vous noient sous un flot de statistiques invérifiables dont les biais sont impossibles à déterminer facilement pour un non spécialiste.
C’est à cause de cette incroyable confusion intellectuelle, savamment entretenues, que purent alors s’imposer des traitements expérimentaux.
Application de nos principes aux vaccins proposés
Si ces principes de refus de diffuser la peur, de bon sens, de décentralisation des décisions politiques et d’une conception rationnelle de la science avaient été maintenus, jamais ces vaccins géniques expérimentaux n’auraient pu être imposés à la totalité de la population mondiale, particulièrement occidentale.
Je souhaite maintenant appliquer ces principes au cas particulier des vaccins expérimentaux qui nous sont désormais partout imposés sous peine d’exclusion sociale. Celle-ci pouvant aller jusqu’à la mise en camp de quarantaine comme en Australie, ou pire, à la mise en danger de la vie en interdisant l’accès aux biens de première nécessités comme au Canada.
Première question. Comment des vaccins ont-ils pu être développés en six mois face à un virus inconnu, à l’origine incertaine, dont les conséquences cliniques commençaient seulement à être traitées et étudiées. Tous les spécialistes disent qu’il faut 7 à 10 ans pour mettre un nouveau vaccin sur le marché. La létalité du Covid-19 ne justifiait pas une telle précipitation.
En outre, ces traitements font appel à des technologies nouvelles, certes connues et développées en laboratoires et testées dans de rares essais cliniques, mais jamais utilisées à si large échelle. L’homme libre que je suis n’est pas un cobaye. Vous n’êtes pas des cobayes, aucun homme ne l’est !
Ici le bon sens et la prudence commandent de dire : non, je ne vaccinerai pas.
La technologie utilisée dite à ARN messager est très innovante et c’est très certainement une technologie qui apportera dans le futur de grands bienfaits à l’humanité. Mais la science, humble et patiente face au réel, nous dit aujourd’hui qu’une cellule vivante est la chose la plus complexe de l’univers. Nous ne savons non seulement pas synthétiser la vie, mais plus encore, nous ne savons ni la définir précisément, ni en fixer précisément les limites. Les virus étant d’ailleurs ironiquement à cette frontière entre vie et non vie …
En utilisant cette technologie qui va au cœur des mécanismes de la cellule pour faire une protéine toxique de la surface du virus Covid-19 nous jouons aux apprentis sorciers. Malheureusement, des premiers effets secondaires gravissimes commencent à apparaître : thromboses, myocardites et péricardites, troubles neurologiques, maladie de Kreuzfel-Jacob, affaiblissement du système immunitaire …
Je rappelle que les vaccins ne sont pas des médicaments. Ils ne soignent pas, ils préviennent. Injectés à une population en bonne santé, leur sécurité doit être absolue.
La véritable science, telle que nous l’avons définie, impose la prudence et de ne pas prendre l’humanité entière pour cobaye ! C’est pourquoi, non, je ne me vaccinerai pas.
Dès le début de la crise, des vétérinaires ont alerté sur la nature particulière des coronavirus. Les vétérinaires connaissent bien les coronavirus car ils sont à l’origine de plusieurs maladies mortelles chez des animaux domestiques ou d’élevage. Toutes les tentatives de vaccination contre les coronavirus se sont soldées par un échec. La mortalité post-vaccinale était beaucoup plus importante. C’est l’effet VAED (Vaccine Associated Enhanced Disease). Les anticorps formés au cours de la vaccination sont paradoxalement facilitateurs d’une post infection vaccinale au lieu d’en protéger. L’infection étant facilitée, les malades font des formes plus sévères. C’est ce phénomène qui s’est produit avec des vaccins Sanofi contre la dingue aux Philippines et qui a conduit à la mort de milliers d’enfants. SANOFI a été condamné. Les coronavirus sont connus pour créer le même effet.
La reprise épidémique dans des pays fortement vaccinés suggère que c’est cet effet qui se produit.
C’est pourquoi, non, je ne me vaccinerai pas, même avec des vaccins traditionnels à virus atténué.
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