Le Gluten & les atteintes neurologiques.
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Sans graisse, riches en fibres, en magnésium et en vitamines B1 et B6, le pain pourrait être un parfait aliment santé, base idéale d'une alimentation saine & équilibrée.
Nombreuses sont les personnes souffrant de diverses maladies & troubles dès lors qu'elles s'alimentent avec ce « mythique aliment » qu'est le pain.
Maladie coeliaque de Crohn, cancer des intestins, ajoutés aux pathologies psychiatriques et divers troubles du comportement tels l'autisme, l'hyperactivité, les troubles scolaires ou encore la schizophrénie…bref tant de pathologies, troubles mentaux plus divers les uns que les autres dont le principal responsable incriminé est …le gluten du pain !
Et malheureusement, nos enfants sont en 1ère ligne concernant les risques.
Pourquoi assistons-nous, de nos jours, à une explosion fulgurante du nombre d'allergies, et principalement d'intolérance aux céréales ?
En quoi le gluten de notre pain serait-il devenu nocif pour l'Homme moderne ? Quel rôle jouerait-il dans les troubles mentaux ?
Agriculture…évolution & mutation.
L'agriculture de l'Homme occidental a délaissé depuis longtemps l'exploitation naturelle des cultures au profit de « l'intensif ». Suivant les régions du monde et durant des milliers d'années, les céréales ont été la base de notre nourriture. Le blé, l'orge, l'avoine, le seigle, le riz…autrefois sauvages, présentaient une très grande variabilité génétique mais ceux-ci furent très vitre réduits par l'autopollinisation dans les champs puis par la sélection des espèces par l'Homme.
En effet, dès l'époque romaine, les espèces cultivées présentaient de meilleures capacités à s'agglutiner pour la confection de la pâte à pain, qualité liée à la présence de gluten et furent donc privilégiées.
C'est ainsi que les céréales mutantes caractérisées par un rachis solide (le rachis désigne la fixation de la graine à l'épi) tendent à se multiplier dans les zones cultivées, au détriment des céréales ordinaires : le gluten a fait son apparition dans notre « pain quotidien » !
Bien que l'Agriculture permit la sédentarisation de l'humanité, il y eut cependant un prix à payer : la genèse de nouvelles maladies au caractère toxique de l'intolérance au gluten, plus communément appelée la maladie coeliaque.
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Pourquoi y a-t-il de plus en plus de personnes allergiques & intolérantes aux céréales ?
Pour comprendre la nocivité du gluten, son implication dans les troubles mentaux, il nous faut explorer les unités catalytiques de nos voies métaboliques essentielles : les systèmes enzymatiques.
L'intolérance au gluten se résume à un dérèglement de notre système enzymatique. Les protéines des céréales ne sont, en effet, pas complètement digérées, il en va de notre santé. Même le plus succulent des pains naturels à base de farine de blé bio, pétri avec amour et garant sans produits chimiques et sans conservateurs, constituerait un redoutable poison pour l'organisme intolérant !
Quels sont les principaux suspects pointés du doigt par bon nombre de chercheurs internationaux. Appelons à la barre les métaux toxiques et les virus…
Les métaux lourds incriminés.
Parmi les hypothèses étiopathogéniques les plus fréquemment accréditées dans la littérature internationale scientifique, nous retrouvons les métaux toxiques tels le plomb, le cadmium, l'aluminium et enfin, l'ennemi N° 1 le plus redoutable, le Mercure !
Ces métaux, nous les côtoyons au quotidien : amalgames dentaires (mercure, étain, argent), cigarettes (cadmium, mercure), vaccins en général (aluminium jouant le rôle de conservateur) et plus particulièrement le vaccin contre le ROR rubéole-oreillons-rougeole (mercure sous forme de thimérosal), ou encore pesticides en tout genre, additifs & conservateurs alimentaires, etc.
Et gare aux effets indésirables !
En s'accumulant dans l'organisme, les métaux lourds ont une action inhibitrice sur une classe d'enzymes que l'on nomme les peptidases.
Ces dernières sont notamment destinées à la dégradation complète d'un ensemble de protéines alimentaires provenant du gluten.
C'est un véritable empoisonnement chronique qui atteint la personne.
Les protéines issues du pain, non complètement dégradées, franchissant en 1er lieu la paroi intestinale, déjà altérée par le mercure et les virus, et se retrouvent ainsi dans le torrent du système sanguin.
Ces peptides, alors transformées en « peptides opiacés », vont se comporter dans l'organisme exactement comme certains dérivés morphiniques et de fixer sur les récepteurs biochimiques spécifiques à ces substances. En occupant et en saturant les récepteurs, les peptides provenant du gluten, mal métabolisés, vont alors entraîner des dérèglements du comportement et favoriser le développement de maladies dégénératives, du système central. En effet, l'accumulation de ces opioïdes inhibe le développement de ce dernier, provoquant ainsi un dysfonctionnement progressif.
Saviez-vous qu'une molécule de gluten contient jusqu'à 16 molécules des dérivés morphiniques ?
Par ailleurs, si, et seulement si, ces sujets présentent des dérèglements du mécanisme enzymatique propre à la glia (ensemble des cellules nerveuses du cerveau), en quelque sorte une altération de la barrière hémato-encéphalique, alors ces glutamorphines peuvent, en second lieu, traverser cette membrane, entraînant une accumulation neuronale et par conséquent le développement de troubles mentaux et comportementaux.
Virus des vaccins & microbactéries.
Les virus des vaccins peuvent circuler dans le sang, se loger dans différentes zones cérébrales, causant ainsi, en association à l'action des glutamorphines, de légères encéphalites, des arrêts du langage, etc…
Pire encore… Les micro-organismes (champignons comme le Candida albicans) peuvent s'installer rapidement dans toutes les muqueuses et en particulier dans l'intestin. Véritables envahisseurs, ils contribuent à la formation d'une paroi empêchant l'absorption normale des aliments, des vitamines et … malheureusement du pain !
Les symptômes majeurs.
Le désordre biochimique auquel se retrouve confronté notre organisme lors d'une intoxication au gluten est à l'origine d'un éventail de désordres comportementaux souvent qualifiés, de façon erronée, de « psychosomatiques » ou « gastriques »
Quelques exemples : problèmes scolaires, dyspraxie, dyslexie, déficit d'attention et de comportement, hypo et hyperactivité, problèmes relationnels, violences, divers types autistiques (avec ou sans langage), troubles involontaires convulsifs (tic, troubles obsessionnels convulsifs (toc), automutilations, perturbation du sommeil, fatigue chronique, maladies de l'intestin (ballonnements, constipation, maladie coeliaque, maladie de Crohn, carcinomes de l'intestin…) schizophrénie, etc.
La preuve biochimique.
Ces troubles « mentaux envahissants » causés par la dégradation partielle du gluten ont été mis en lumière par le Pr norvégien Karl Reichelt de l'institut pédiatrique d'Oslo.
En effet, il a incriminé dès 1986 la présence de peptides du gluten dans les urines de sujets hyperactifs, autistes, épileptique & schizophrènes.
Une solution, une analyse : la peptidurie.
Elke Arod.
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