Le « Bio » c’est un tout …
Faudra-t-il, après avoir lutté pendant des années contre les pollutions de toutes sortes, les vaccinations abusives etc., se battre aussi contre le Bio ?
Le Bio, avec un grand B, pour moi fait partie d'un ensemble, d'une qualité de vie, d'un art de vivre, d'une philosophie en fait où différents facteurs seraient pris en compte sans exception : respect de l'homme & des êtres vivants, défense de l'environnement, lutte contre la pollution, maintien du monde agricole à une échelle humaine, préservation de la santé physique, psychique et spirituelle et j'en oublie certainement.
Le « Bio » n'est pas un but en soi, ni une panacée à elle seule. Continuez à manger de la viande et de la charcuterie 2 fois par jour, boire du café et du vin, consommer sucreries & produits laitiers, même en utilisant que des produits Bio, vous verrez que vos problèmes de santé ne s'amélioreront guère et qu'à plus ou moins court terme un état maladif en résultera fatalement.
Bio ne veut pas forcément dire sain, ni bénéfique pour la vie et pour la santé :
v La viande & les charcuteries sont riches en acides gras saturés et sont génératrices d'acide urique,
v La café contient un excitant : la caféine,
v Les sucreries & pâtisseries sont déminéralisantes,
v Les produits laitiers & le lait sont lourds à digérer et responsables de nombreuses allergies (le lait de vache en particulier, pour un bébé, ne remplacera jamais le lait maternel,
v Les conserves, les surgelés sont déséquilibrés en minéraux & vitamines,
v Les huiles, une fois cuites à plus de 200°, subissent des réactions de thermocraquage cancérigène, etc. Et tout ça que les aliments soient Bio ou pas !
Aussi une prise de conscience au niveau de
Utilisation de fruits & légumes frais de la saison et de la région (nous trouvons maintenant en Bio des tomates, courgettes, haricots verts, concombres… toute l'année, quelle hérésie !).
Chaque légume a sa raison d'être à telle ou telle période de l'année et c'est à ce moment-là qu'il est le plus profitable pour notre organisme et qu'il lui apporte exactement ce qu'il lui faut.
v Remplacement de la viande & du poisson par des
protéines végétales : seitan, céréales, légumineuses…
v Emploi de graines germées,
v Diminuer largement la consommation de produits
laitiers & de sucre.
v Eviter les boissons gazeuses, l'alcool, le café,
v Mettre en pratique un certain nombre des règles de base d'une alimentation saine et avoir une attention constante à notre environnement dans notre vie de tous les jours.
Attention à ne pas rentrer dans le système de la consommation à outrance où il faut toujours plus : produire plus, vendre plus, (au détriment bien sût de la qualité), consommer plus, manger plus… pour un prix de plus en plus bas.
Pour en arriver, pourquoi pas bientôt, à des hamburgers Bio, reflet d'une médiocrité de l'aliment comme de l'esprit.
Essayons de conserver notre bon sens afin d'équilibrer nos menus avec des produits de qualité biologique en favorisant le plus possible ceux provenant de petits producteurs ou de petites entreprises.
Utilisons en dépannage uniquement exceptionnellement les produits surgelés, plats cuisinés sous vide, conserves, petits pots pour bébés, produits Bio certes, mais peu intéressants non seulement sur le plan vitaminique & minéral mais aussi sur le plan vibratoire. Sans parler du plan gustatif, car rien ne vaudra un petit plat préparé maison.
C'est vrai que c'est pratique. Et c'est bien là le piège ! Car vous risquez vite de ne plus manger que des aliments morts.
Bordeaux-Szekely avait classé nos aliments en 3 groupes. Ceux dont nous venons de parler, surgelés et conserves, étaient classés dans la rubrique des aliments biostatiques : « aliments qui ont perdu la plupart de leurs éléments vitaux ».
Et pour terminer, pour tous ceux que la cause animale ne laisse pas indifférents, pensez-vous qu'un animal ressente moins la souffrance parce qu'il est « Bio » ? Même s'il est mieux nourri, que ses conditions de vie sont meilleures, au bout du compte, sa mort sera-t-elle plus douce ?
De plus, là encore, il nous faut distinguer les petits éleveurs Bio et les gros fournisseurs de viande Bio pour la grande consommation où toujours plus de rentabilité est exigée au détriment non seulement de la qualité mais, ce qui est plus grave, de la condition de vie de l'animal qui n'est considéré que comme un produit de consommation.
Mon rêve, comme celui de beaucoup, serait évidemment que nous ne soyons plus obligés de lire les étiquettes et que
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