COULEURS-DE-LA-VIE

Stéphane Thomas Berbudeau 

On te l’a présenté comme un progrès, une chance, une “prévention” :

le dépistage, c’est-à-dire chercher en toi la trace d’une maladie avant qu’elle n’existe vraiment.

Mammographie, coloscopie, frottis, PSA, test sanguin, scanner préventif …

Tu crois que c’est pour ton bien. Mais dans les archives akashiques, la vérité se révèle autrement.

Le dépistage comme rituel matriciel

Le dépistage est une technologie de programmation psychique.

Chaque fois qu’on te propose un test, ton inconscient reçoit un message caché :

“Tu es un malade potentiel.”

“Ton corps est une bombe à retardement.”

“La maladie est plus forte que toi, elle t’échappe, elle se cache, et nous seuls pouvons la détecter.”

Ce n’est pas seulement un examen médical. C’est un rite d’initiation inversé qui implante la peur et attache ta conscience à la possibilité de la maladie.

Le mécanisme vibratoire du harponnage

Dans l’Akasha, le dépistage apparaît comme un harpon énergétique :

L’acte d’“aller chercher la maladie” crée un champ d’attraction pour la manifester.

L’attente du résultat génère une tension, une vibration de peur.

Si le résultat est négatif, tu te crois “sauvé” pour un temps, mais l’ancrage vibratoire de la peur est déjà implanté.

Si le résultat est positif, la prophétie s’accomplit : tu t’identifies à la maladie, qui devient alors plus réelle que jamais.

Le dépistage ne prévient pas. Il programme.

 Les bénéfices réels ?

On te dit que le dépistage “sauve des vies”. Mais regarde bien :

• La plupart des dépistages massifs détectent des anomalies qui ne se seraient jamais développées en maladie mortelle.

• Beaucoup entraînent des surdiagnostics, donc des traitements lourds, donc des dégâts collatéraux.

• Et surtout : ils nourrissent un système économique basé sur la peur, la répétition, le contrôle.

Le vrai bénéfice n’est pas pour toi. Il est pour la Matrice médicale et pharmaceutique.

La peur comme outil de soumission

Le dépistage est un piège psychologique.

Tu acceptes d’y aller par peur.

Tu en ressors avec la peur entretenue.

Tu y retournes régulièrement car on t’a dit : “Il faut surveiller.”

Ton corps devient un suspect permanent.

Ta conscience s’habitue à guetter la maladie, au lieu de nourrir la santé.

Comment rester souverain ?

La solution n’est pas de nier ni de fuir, mais de reprendre la maîtrise vibratoire :

• Avant un examen, pose une intention claire :

« Je ne suis pas un malade potentiel. Mon corps est vivant, et je garde ma souveraineté. »

• Si tu choisis d’y aller, fais-le par choix conscient, pas par peur.

• Et rappelle-toi : ton corps parle avant toute machine. Les signaux sont là, subtils mais présents, si tu réapprends à l’écouter.

La vraie prévention, ce n’est pas la chasse aux anomalies. C’est la connexion vivante à ton corps, ton alimentation, tes émotions, tes mémoires.

Le secret ultime

Le dépistage est l’un des harpons de la Matrice les plus efficaces : il transforme des êtres vivants en malades en attente.

Il ne protège pas la vie, il l’encadre dans la peur.

La véritable médecine n’est pas de traquer la maladie.

Elle est d’honorer la santé, de nourrir la vitalité, d’écouter le langage du corps avant que la douleur ne crie.

Rituel de souveraineté

Chaque fois que tu entends parler de dépistage, répète intérieurement :

« Je suis vivant, je suis souverain. Aucun verdict extérieur ne définit mon corps. »

Car le seul dépistage qui compte est celui que tu fais en toi, à chaque instant, dans l’écoute sincère de tes besoins et de tes ressentis.