Pasteur, sauveur ou imposteur ?
Mensonge, mystification, pillage … Au regard des faits rapportés par les historiens,le mythe du « plus grand Français de tous les temps » s’avère être la plus grande imposture. Pasteur a notamment maquillé les résultats d’expériences qui ne lui étaient pas favorables, comme l’aurait fait un vrai faussaire avec l’aide de complices.
Il s’est également approprié les travaux d’autres scientifiques, comme ceux d’Antoine Béchamp ou de Henri Toussaint.
Les louanges de Pasteur s’entendent partout dans le monde et il est considéré comme l’un des plus prestigieux héros du genre humain, une référence incontournable. Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIe siècle avec le médecin anglais Edward Jenner, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté un long cortège de mensonges.
Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes. C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable.
« Vu à la télé »
En avril 2005, au cours d’une émission de télévision qui illustrait bien la déchéance de l’information et du niveau culturel, il a été élu le deuxième « Plus grand Français de tous les temps », après Charles de Gaulle. Ajoutant un nouveau mensonge à ceux qui entourent Pasteur, le Pr Axel Kahn, membre du Comité consultatif national d’éthique français, directeur de recherche à l’Inserm, et l’un des plus fidèles supporters de Pasteur, n’a pas hésité à affirmer que c’était grâce à lui que les femmes ne mourraient plus en couches de la fièvre puerpérale.
Cette découverte est en vérité celle du médecin hongrois Ignace Semmelweis qui avait observé que les femmes ne mouraient plus lorsque les accoucheurs prenaient des précautions d’hygiène, à commencer par se laver les mains. Il faut savoir qu’il déclencha alors les ricanements de ses confrères et ne parvint pas à les convaincre malgré des résultats évidents.
On prétendit que les statistiques qu’il avait publiées étaient erronées, mensongères, et on le révoqua. Il semblerait même que des accouchées aient pu être infectées afin de discréditer la véracité de ses observations. Il finit par se suicider de désespoir. Ses travaux, publiés en 1861, ne furent reconnus qu’en 1890 et ce retard coûta des vies. Révolté par ce comportement, un autre médecin, mais celui-là écrivain, Louis-Ferdinand Céline, le défendit avec virulence en publiant sa biographie en 1937. Sans doute Axel Kahn ne l’a-t-il pas lue. Nous pouvons ainsi constater que ce mythe de Pasteur perdure sur des bases totalement erronées, mais que le grand public croie aveuglément parce que « la télévision en a parlé ».
Idolâtrie nationale
Cependant, de nombreux faits rapportés dans des écrits parfaitement authentifiés, venant de proches ou d’historiens comme le Dr Lutaud, le Dr Philippe Decourt, le Dr Xavier Raspail, Adrien Loir, Ethyl Douglas Hume, Emile Duclaux, Gerald Geison, et d’autres, devraient suffire à le faire tomber de son piédestal. Mais le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur.
Il est interdit sous peine d’anathème de toucher au vainqueur de la rage ! Et à présent que Pasteur n’est plus là pour piller les résultats de ses pairs, ce sont les autres qui les pillent en son nom. Pasteur a maquillé les résultats d’expériences qui ne lui étaient pas favorables, comme l’aurait fait un vrai faussaire avec l’aide de complices.
Il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXe siècle, médecin, biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la Faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la faculté libre de Lille.
Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée au profit des intérêts personnels de Pasteur.
Lire la suite dans notre article intégral écrit par Sylvie Simon dans le Nexus n° 67 (mars-avril 2010) en cliquant sur le lien
OU Clic sur Image ci-dessous
A découvrir aussi
- Le traitement par les cristaux...
- L’humour est un guérisseur !
- Jacques SALOME : Les mots nous assassinent…ou nous sauvent.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 502 autres membres