Pensées des Sages pour Octobre
Qu’on parle de vous, c’est affreux. Mais il y a une chose pire : c’est qu’on n’en parle pas !
Oscar Wilde.
Gémir sur un malheur passé,
c’est le plus sûr moyen d’en attirer un autre.
Shakespeare.
C’est la nuit, qu’il est beau de croire à la lumière.
E. Rostand
Rendez-vous complètement maître
de ce que vous venez d’apprendre
avant d’apprendre à nouveau.
Confucius.
Celui qui pense à son devoir que lorsqu’on l’en avertit
n’est digne d’aucune estime.
Plaute.
Il est moins question de paraître honnête que de l’être ;
ceux qui ne se soucient pas de l’approbation d’autrui,
mais seulement de ce qui la fait mériter,
obtient l’un et l’autre.
Mme de Lambert.
Un beau livre est un parfum que l’on ne peut répandre sur autrui sans en faire rejaillir quelques gouttes sur soi-même.
R. W. Emerson.
Un obstacle au bonheur, c’est de s’attendre à trop de bonheur.
Fontenelle.
Etre belle et aimée, ce n’est être que femme.
Etre laide et savoir se faire aimer, c’est être princesse.
J. Barbey D’Aurevilly.
« Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es »,
il est vrai, mais je te connaîtrais mieux
si tu me dis ce que tu relis.
F. Mauriac.
Tu supportes des injustices ;
console-toi, le vrai malheur est d’en faire.
Démocrite.
L’espérance est un emprunt fait au bonheur.
Joubert.
L’homme absurde est celui qui ne change jamais.
A.-M. Barthélémy.
Etre ignorant de son ignorance est la maladie de l’ignorant.
A. B. Alcott.
Rien n’est plus aisé à faire qu’un mauvais livre,
si ce n’est une mauvaise critique.
Voltaire.
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