Nous les femmes…
Quand on pense que certains se sont crus obligés de nous appeler « le sexe faible », on se pose des questions. Ok, c'était il y a longtemps. Mais tout de même, qu'est-ce qui a bien pu leur passer par la tête pour qu'ils nous qualifient d'un tel nom de foire ?
Faible ? Vraiment ?
Si nous ressentons de temps en temps un petit vague à l'âme, nous n'allons pas en faire un plat. Ce n'est pas parce que les hormones nous jouent des tours avec l'âge qui avance aussi, que nous allons passer le réveillon devant le mur des lamentations.
D'autant plus que les spécialistes se mettent en quatre pour tout nous expliquer : les oestrogènes, la progestérone, la testostérone, la thyroïde, les surrénales.
On a beau ne pas être demeurées, avouons que c'est compliqué. Grâce aux médecins naturo qui se sont penchés sérieusement sur le sujet, nous avons appris que les méthodes naturelles permettent d'anticiper et d'équilibrer ces désagréments.
La nutrition participe à la prévention de manière déterminante. D'où l'importance d'une alimentation variée, riche en végétaux de saison et en huiles vierges de première pression à froid biologique.
Au premier plan des nutriments souvent baptisés « anti-âge », les acides gras essentiels polyinsaturés (3 & 6) qui jouent un rôle fondamental dans la qualités des tissus & des membranes cellulaires.
Les antioxydants (sélénium, zinc, vitamine E, acides aminés) qui stimulent les défenses naturelles et protègent l'organisme contre les radicaux libres, molécules très actives, qui accélèrent le vieillissement.
Des substances cérébro-protectrices comme les phospholipides qui limitent les pertes de mémoire. Ce que s'emploie également à faire le ginkgo biloba, un des plus puissants antioxydants connus.
Amies de la peau & du système nerveux, l'huile de bourrache & l'huile d'onagre. Très riche en acides gras essentiels polyinsaturés, elles jouent les précurseurs des prostaglandines, régulateurs de la fonction des différentes cellules.
Indispensables pour passer en beauté le cap des modifications hormonales. Si l'âge agit effectivement comme un facteur qui sonne plutôt 2 fois plutôt qu'une pour souligner les limites de notre activité cellulaire, n'essayons pas de le contrer, mais plutôt de faire naturellement avec lui. Car il gagnera, c'est sûr.
Nous, les femmes Bio, ne jouerons pas le jeu des « vieux bieaux ». Un truc d'hommes.
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